LA FETE DE PÂQUES
Fête non biblique - Tradition d'Hommes
Le Livre de Matthieu Chapitre 15 versets 6 à 9
Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition… C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.
INTRODUCTION
Il est important de noter la différence entre la fête de la pâque mentionnée dans la bible et la fête de pâques qui est une fête païenne. Qu'est que la fête de pâques a à voir avec le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob? Comment les lapins, les œufs et les produits dérivés en sont-ils venus à être associés à la résurrection du Christ? La fête de Pâques est-elle Biblique ? Les disciples, apôtres et l’Église des temps anciens célébraient-ils la fête de la pâque (biblique)?
La plupart des gens continuent à suivre ce qu’on leur a enseigné présumant que ce qu’ils croient ou font est acceptable. Ils considèrent leurs croyances comme allant de soi. Ils ne prennent pas le temps de prouver, vérifier si leurs pratiquent sont correctes. On peut ainsi identifier ces pratiques à des traditions.
Pourquoi croyez-vous ce que vous croyez? D’où viennent vos croyances? La source de vos convictions religieuses est-elle la Bible - ou une autre autorité? Si vous répondez : la Bible, alors pouvez-vous en apporter la ou les preuves avec les livres de la bible!
La plupart des gens continuent à suivre ce qu’on leur a enseigné présumant que ce qu’ils croient ou font est acceptable. Ils considèrent leurs croyances comme allant de soi. Ils ne prennent pas le temps de prouver, vérifier si leurs pratiquent sont correctes. On peut ainsi identifier ces pratiques à des traditions.
Pourquoi croyez-vous ce que vous croyez? D’où viennent vos croyances? La source de vos convictions religieuses est-elle la Bible - ou une autre autorité? Si vous répondez : la Bible, alors pouvez-vous en apporter la ou les preuves avec les livres de la bible!
**Il y a-t-il des versets qui traitent des lapins, des œufs, des paniers de friandises, du chocolat, de tente, de camping, de cochon, de crabes et/ou de crustacés... ou encore du Vendredi Saint, du dimanche des Rameaux en cette période et des cérémonies adjointes?
I. Pâques?! Mais où sont les versets?
Actes 12:1 Le roi Hérode avait commencé à persécuter l’Église, ce qui avait entraîné la mort brutale de l’apôtre Jacques par l’épée. Cela avait tellement plu aux Juifs que l’apôtre Pierre avait aussi été arrêté par le roi. Son intention était de le livrer plus tard aux Juifs. Le verset 3 dit : « C’était pendant les jours des pains sans levain.
L’Église du Nouveau Testament observait les fêtes prescrites dans Lévitique 23.
Au verset 4 (version KJV 1611 anglaise), nous lisons : «Après l’avoir saisi et jeté en prison, il le mit sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune, avec l’intention de le faire comparaître devant le peuple après Pâques » [Easter].
La Bible donne-t-elle ici son autorisation de célébrer Pâques ?
Ce passage ne fait pas référence à Pâques (païenne). Comment pouvons-nous le savoir? Le mot grec qui a été traduit par Pâques est pascha (qui provient du mot hébreu pessach ; il n’existe aucun mot grec pour le mot Pâque - Passover en anglais) et il ne peut y avoir qu’une seule signification. Il signifie toujours la Pâque (biblique) — jamais Pâques (païenne)! C’est pourquoi nous retrouvons un mot hébreu utilisé dans le Nouveau Testament grec. Je le répète, ce mot hébreu se réfère seulement à la Pâque. Toutes les autres traductions ont d’ailleurs traduit ce mot correctement par la Pâque.
Au lieu d’endosser Pâques, ce verset prouve en réalité que l’Église observait toujours la Pâque du livre de lévitique chapitre 23 dix ans après la mort du Christ.
Nous pourrions tenter de chercher d'autre passages parlant de Pâques... Mais nous sommes très vite confronté à un problème de taille... Il n’y en a aucun!
Il n’existe ab-so-lu-ment aucun verset à ce sujet autorisant ou endossant l’observance de cette célébration. La Bible ne dit absolument rien au sujet, de crabes, camping, des œufs, des friandises etc..
La mauvaise traduction d’Actes 12 :4 était une tentative d’introduire un festival païen au sein des Écritures afin qu’elles en autorisent la célébration.
L’Église du Nouveau Testament observait les fêtes prescrites dans Lévitique 23.
Au verset 4 (version KJV 1611 anglaise), nous lisons : «Après l’avoir saisi et jeté en prison, il le mit sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune, avec l’intention de le faire comparaître devant le peuple après Pâques » [Easter].
La Bible donne-t-elle ici son autorisation de célébrer Pâques ?
Ce passage ne fait pas référence à Pâques (païenne). Comment pouvons-nous le savoir? Le mot grec qui a été traduit par Pâques est pascha (qui provient du mot hébreu pessach ; il n’existe aucun mot grec pour le mot Pâque - Passover en anglais) et il ne peut y avoir qu’une seule signification. Il signifie toujours la Pâque (biblique) — jamais Pâques (païenne)! C’est pourquoi nous retrouvons un mot hébreu utilisé dans le Nouveau Testament grec. Je le répète, ce mot hébreu se réfère seulement à la Pâque. Toutes les autres traductions ont d’ailleurs traduit ce mot correctement par la Pâque.
Au lieu d’endosser Pâques, ce verset prouve en réalité que l’Église observait toujours la Pâque du livre de lévitique chapitre 23 dix ans après la mort du Christ.
Nous pourrions tenter de chercher d'autre passages parlant de Pâques... Mais nous sommes très vite confronté à un problème de taille... Il n’y en a aucun!
Il n’existe ab-so-lu-ment aucun verset à ce sujet autorisant ou endossant l’observance de cette célébration. La Bible ne dit absolument rien au sujet, de crabes, camping, des œufs, des friandises etc..
La mauvaise traduction d’Actes 12 :4 était une tentative d’introduire un festival païen au sein des Écritures afin qu’elles en autorisent la célébration.
II. Un bref coup d’œil sur la Pâque
Nous sommes tous familiers avec l’histoire de la Pâque de l’Ancien Testament. Elle traite surtout de la délivrance des Israélites de l’Égypte par dix plaies miraculeuses. La dernière de ces plaies montre comment l’ange de la mort passa par-dessus (en anglais : Passover – nom pour la Pâque) les maisons des Israélites. Ils avaient reçu la directive de badigeonner les linteaux de leur porte avec du sang pour que leurs premiers-nés ne meurent pas. Lors de cette première Pâque (biblique), ce ne fut donc que le sang de l’agneau sacrifié qui protégea leurs maisons. La plaie atteignit tous les premiers-nés d’Égypte, mais ceux des Israélites furent épargnés grâce à ce sang. C’est l’obéissance aux ordres de Dieu et la foi en ses promesses qui leur permit de conserver la vie.
Nous retrouvons le récit de la Pâque dans Exode 12:12-14. Le verset 14 déclare que la Pâque était une cérémonie commandée par Dieu en tant que rappel annuel devant être observé par Israël "à perpétuité". Ce même commandement est répété dans Lévitique 23 :5. Aussi, Exode 12 :15 nous présente la fête appelée les Pains sans Levain (aussi mentionnée dans Lévitique 23 :6-8), qui suivait immédiatement la Pâque année après année. Voilà pourquoi Actes 12:3 dit : « C’était pendant les jours des pains sans levain », avant de mentionner la Pâque dans le verset suivant. Ces jours étaient toujours célébrés conjointement.
Nous retrouvons le récit de la Pâque dans Exode 12:12-14. Le verset 14 déclare que la Pâque était une cérémonie commandée par Dieu en tant que rappel annuel devant être observé par Israël "à perpétuité". Ce même commandement est répété dans Lévitique 23 :5. Aussi, Exode 12 :15 nous présente la fête appelée les Pains sans Levain (aussi mentionnée dans Lévitique 23 :6-8), qui suivait immédiatement la Pâque année après année. Voilà pourquoi Actes 12:3 dit : « C’était pendant les jours des pains sans levain », avant de mentionner la Pâque dans le verset suivant. Ces jours étaient toujours célébrés conjointement.
III. Qu’en est-il du Nouveau Testament ?
1 Corinthiens 5 :7-8 Faites disparaître le vieux levain, afin que vous soyez une pâte nouvelle, puisque vous êtes sans levain, car Christ, notre Pâque, a été immolé.
Célébrons donc la fête, des Pains sans Levain qui a toujours suivi la Pâque tel qu’expliqué ci au-dessus… ».
Le Christ, en tant qu’Agneau de Dieu (Jean 1 :29 ; Actes 8 :32 ; 1 Pierre 1 :19 ; Apocalypse 5 :6) a remplacé l’agneau de l’Ancien Testament qui était consommé lors de la soirée de la Pâque chaque année. Les symboles du Nouveau Testament du pain et du vin ont été institués afin que les Chrétiens puissent manger le corps du Christ, le véritable Agneau de Dieu, et boire son sang. Le sacrifice de Christ a remplacé l’obligation de tuer un agneau de printemps. Luc 22:19 montre que Jésus-Christ lui a substitué le pain et le vin pour qu’ils soient pris annuellement en commémoration de son sacrifice pour la rémission de nos péchés - autant spirituels que physiques. http://www.israelites-guadeloupe.com
Célébrons donc la fête, des Pains sans Levain qui a toujours suivi la Pâque tel qu’expliqué ci au-dessus… ».
Le Christ, en tant qu’Agneau de Dieu (Jean 1 :29 ; Actes 8 :32 ; 1 Pierre 1 :19 ; Apocalypse 5 :6) a remplacé l’agneau de l’Ancien Testament qui était consommé lors de la soirée de la Pâque chaque année. Les symboles du Nouveau Testament du pain et du vin ont été institués afin que les Chrétiens puissent manger le corps du Christ, le véritable Agneau de Dieu, et boire son sang. Le sacrifice de Christ a remplacé l’obligation de tuer un agneau de printemps. Luc 22:19 montre que Jésus-Christ lui a substitué le pain et le vin pour qu’ils soient pris annuellement en commémoration de son sacrifice pour la rémission de nos péchés - autant spirituels que physiques. http://www.israelites-guadeloupe.com
« Nous n’avons aucune indication de l’observance de Pâques dans le Nouveau Testament ou dans les écrits par les Pères apostoliques… Les premiers Chrétiens continuèrent à observer les fêtes juives [les fêtes de l’Éternel de Lévitique 23], avec un esprit renouvelé, cette fois en tant que commémoration d’événements que ces fêtes annonçaient auparavant. Ainsi la Pâque, envisagée d’une façon nouvelle, Christ étant le véritable agneau pascal, [...] continua à être observée ». Encyclopedia Britannica, 11e Éd. Vol 8, p.828 |
Les apôtres originaux et l’Église des débuts du Nouveau Testament n’observaient pas Pâques. Notez cette citation : « Au deuxième siècle, le jour de Pâques était, parmi les Chrétiens de l’Asie Mineure [on parle ici des Églises des païens convertis par Paul à Philippe, Colosse, en Galatie etc. - alors qu’il avait prévenu les Galates 4:9-10 contre les jours tels que Pâques] le 14 Nisan [ou Abib] le septième mois du calendrier [civil] juif » World Almanac, édition de 1968, p. 187
|
La date mentionnée ici n’est pas Pâques mais bien celle de la Pâque qui était observée le 14ème jour du premier mois (Nisan ou Abib) du calendrier Hébreux. Les apôtres et l’Église des débuts n’observaient pas Pâques (païenne).
Malgré la preuve écrasante que les fêtes de l’Éternel, telles que mentionnées dans Lévitique 23, doivent toujours être observées (Actes 2:1, 12:3, 18:21, 20:6, 16 ; 1 Corinthiens 5:7-8, 16:8), pratiquement personne qui dit croire au Dieu de la Bible ne les observe. Très peu de personnes qui disent servir Jésus-Christ de Nazareth observent la Pâque tel qu’Il le commande. Pourquoi ?
Puisque la Bible ne nous commande pas d’observer Pâques, mais qu’elle nous commande d’observer la Pâque, nous sommes en droit de nous demander quelles sont les origines de la fête de Pâques ?
Malgré la preuve écrasante que les fêtes de l’Éternel, telles que mentionnées dans Lévitique 23, doivent toujours être observées (Actes 2:1, 12:3, 18:21, 20:6, 16 ; 1 Corinthiens 5:7-8, 16:8), pratiquement personne qui dit croire au Dieu de la Bible ne les observe. Très peu de personnes qui disent servir Jésus-Christ de Nazareth observent la Pâque tel qu’Il le commande. Pourquoi ?
Puisque la Bible ne nous commande pas d’observer Pâques, mais qu’elle nous commande d’observer la Pâque, nous sommes en droit de nous demander quelles sont les origines de la fête de Pâques ?
IV. Pâques arrive en Amérique
La fête de Pâques est reconnue depuis longtemps en tant que festival païen. Les fondateurs des États-Unis savaient cela. Un livre pour les enfants déclare:
« Lorsque les Puritains vinrent en Amérique du Nord, ils considéraient la célébration de Pâques et celle de Noël avec méfiance. Pendant les deux premiers siècles de vie européenne en Amérique du Nord, il n’y eut que quelques états, principalement du sud, qui soulignaient Pâques».
Easter Parade : Welcome Sweet Spring Time ! (Parade de Pâques. Bienvenu à la douceur du printemps) par Steve Englehart, p.4 « Pâques commença à devenir une tradition américaine dans les années 1870. » p.5 |
Ce n’est qu’après la guerre civile que les Américains commencèrent à célébrer cette fête. Remarquable ! Les 13 colonies américaines originelles débutèrent en tant que nation au service du Christ. La nation n’observa pas Pâques pendant un siècle entier après sa fondation. Que s’est-il passé pour que cela change ?
Les origines de Pâques
Le printemps est dans l’air ! Les fleurs et les lapins décorent la maison. Papa aide les enfants à peindre de beaux dessins sur des œufs teints de couleurs différentes. Ces œufs qui, plus tard, seront cachés et que les enfants essaieront de retrouver, sont mis dans de beaux petits paniers. Le délicieux arôme des brioches que maman fait cuire remplit la maison. Les quarante jours de privation de certains mets se terminent demain. Toute la famille met ses vêtements du dimanche en vue du service religieux qui se tiendra au lever du soleil pour célébrer la résurrection du Sauveur et le renouveau de la vie. Tous ont hâte de manger le jambon et toutes les garnitures qui accompagnent les mets. Ce sera une journée joyeuse. Après tout, c’est une des fêtes religieuses les plus importantes de l’année.
Pâques, n’est-ce pas ? Vous venez de lire une description d’une ancienne famille babylonienne - 2,000 ans avant le Christ - honorant la résurrection de leur dieu Thammuz, qui a été ramené des enfers par son épouse/mère, Ishtar (du nom de laquelle la fête a été nommée, Easter en anglais et Pâques en français). Dans la majorité des dialectes sémitiques « Isthar » se prononce « Easter ».
Nous pourrions donc dire que les événements décrits ci-dessus constituent dans un certain sens la fête de Pâques. Bien entendu, cette occasion aurait aussi bien pu parler d’une famille phrygienne qui honorait Attis et Cybèle, ou encore une famille phénicienne adorant Adonis et Astarté. La description pourrait également très bien décrire une famille hébraïque hérétique qui honorait le dieu cananéen Baal et Ashtoreth (Astarté). Ou encore cette description aurait pu facilement décrire bien d’autres célébrations de mort et de résurrection et de fertilité païenne - ce qui inclut la célébration moderne de Pâques comme elle nous est parvenue par le moyen des rites de fertilité anglo-saxons de la déesse Eostre (ou Ostara). Dans tous les cas, c’est la même fête, séparée seulement par le temps et la culture.
Pâques, n’est-ce pas ? Vous venez de lire une description d’une ancienne famille babylonienne - 2,000 ans avant le Christ - honorant la résurrection de leur dieu Thammuz, qui a été ramené des enfers par son épouse/mère, Ishtar (du nom de laquelle la fête a été nommée, Easter en anglais et Pâques en français). Dans la majorité des dialectes sémitiques « Isthar » se prononce « Easter ».
Nous pourrions donc dire que les événements décrits ci-dessus constituent dans un certain sens la fête de Pâques. Bien entendu, cette occasion aurait aussi bien pu parler d’une famille phrygienne qui honorait Attis et Cybèle, ou encore une famille phénicienne adorant Adonis et Astarté. La description pourrait également très bien décrire une famille hébraïque hérétique qui honorait le dieu cananéen Baal et Ashtoreth (Astarté). Ou encore cette description aurait pu facilement décrire bien d’autres célébrations de mort et de résurrection et de fertilité païenne - ce qui inclut la célébration moderne de Pâques comme elle nous est parvenue par le moyen des rites de fertilité anglo-saxons de la déesse Eostre (ou Ostara). Dans tous les cas, c’est la même fête, séparée seulement par le temps et la culture.
La grande majorité des historiens séculiers et religieux s'accordent à dire que le nom «Easter» et les traditions qui l’accompagnent ont de profondes racines païennes. Veuillez noter maintenant plusieurs citations qui nous en disent davantage sur la véritable origine du nom (anglais) de la célébration moderne de Pâques : «Depuis Bede le Vénérable (De ratione temporum 1:5) l’origine du nom pour la fête de la résurrection du Christ a été généralement acceptée comme venant du terme anglo-saxon Eastre, une déesse du printemps… qui est l’ancien pluriel allemand pour eostarum ; d’où nous viennent le mot allemand Ostern et le terme anglais Easter » The New Catholic Encyclopedia, 1967, Vol. 5, p. 6
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Le fait que les festivals de l’équinoxe printanier se retrouvaient chez tous les peuples païens est fortement responsable de la forme que revêtent les fêtes orientales des Églises chrétiennes. Le mot « Easter » est d’origine païenne. Albert Henry Newman, D.D., LL.D., A Manual of Church History, p. 299
Le fait que les festivals de l’équinoxe printanier se retrouvaient chez tous les peuples païens est fortement responsable de la forme que revêtent les fêtes orientales des Églises chrétiennes. Le mot « Easter » est d’origine païenne. Albert Henry Newman, D.D., LL.D., A Manual of Church History, p. 299
En ce qui concerne cette plus grande des fêtes chrétiennes, plusieurs de ses caractéristiques proviennent des anciennes cérémonies païennes. Pour commencer, le nom lui-même n’est pas chrétien mais païen. Ostara était la déesse anglo-saxonne du printemps ». Ethel L. Urlin, Festival, Holy Days, and Saints Days, p. 73
Easter - le nom Easter nous est parvenu de Ostera ou Eostre, la déesse anglo-saxonne du printemps en l’honneur de laquelle un festival se tenait annuellement et c’est de ce festival païen que certaines des coutumes de Pâques proviennent. Hazeltine, p. 53
En Babylonie […] la déesse du printemps s’appelait Ishtar. On l’avait identifiée à la planète Vénus qui, parce qu’elle… se levait avant le soleil… ou se couchait après lui… semblait aimer la lumière [en clair, Vénus aimait le dieu-soleil]… En Phénicie, elle est devenue Astarté ; en Grèce Eostre [lié au mot grec Eos : « aurore »], et en Allemagne Ostara [qui provient du terme allemand Ost : «Est, qui est la direction de l’aurore]
Englehart, p. 4
Comme nous pouvons le constater, il y a plusieurs noms interchangeables pour le mot Easter. Les païens ont coutume d’utiliser plusieurs noms différents pour les mêmes dieux ou déesses. Nimrod, le personnage biblique qui a bâti la cité de Babylone Genèse 10:8 en est un exemple.
Genèse 10:8-12 8Cusch engendra aussi Nimrod; c'est lui qui commença à être puissant sur la terre.9Il fut un vaillant chasseur devant l'Eternel; c'est pourquoi l'on dit: Comme Nimrod, vaillant chasseur devant l'Eternel. 10Il régna d'abord sur Babel, Erec, Accad et Calné, au pays de Schinear. 11De ce pays-là sortit Assur; il bâtit Ninive, Rehoboth Hir, Calach, 12et Résen entre Ninive et Calach; c'est la grande ville.
Il fut adorer sous les noms de Saturne, Vulcain, Chronos, Baal, Thammuz, Moloch et bien d’autres mais c’était toujours le même dieu - celui du feu ou le dieu-soleil adoré universellement dans presque toutes les anciennes cultures.
Il en était de même de la déesse «Easter». C’était la seule déesse avec plusieurs noms - la déesse de fertilité, adorée au printemps au moment de la renaissance de la vie. Le réputé historien Will Durant, dans son fameux livre Story of Civilization, pp. 235, 244-245, écrit : « Ishtar [Astarté chez les Grecs, Ashtoreth chez les Juifs] nous intéresse non seulement comme étant analogue à l’Isis égyptienne et un prototype de l’Aphrodite grecque et la Vénus romaine mais en tant que la bénéficiaire formelle de la plus étrange des coutumes babyloniennes… qui nous est parvenue principalement par un récit fameux d’Hérodote : Chaque femme autochtone est obligée une fois dans sa vie, de s’asseoir au temple de Vénus [Easter] et d’avoir des relations sexuelles avec un étranger». Est-il donc surprenant que la Bible parle de ce système religieux qui nous vient de cette ancienne cité en disant « un mystère : Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre.»
Apocalypse 17:5 5Sur son front était écrit un nom, un mystère: Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre.
V. Pâques, les œufs et la chasse aux œufs
« L’origine des œufs de Pâques est basée sur la tradition des races indo-européennes… pour elles, les œufs étaient un symbole du printemps… Depuis les temps de la chrétienté, ils se virent attribué une interprétation religieuse, devenant le symbole de la pierre du sépulcre duquel sortit le Christ pour Sa nouvelle vie après Sa résurrection » Francis X. Weiser, Handbook of Christian Feasts and Customs, p. 233
Ceci est un exemple typique de la façon dont les coutumes et symboles païens sont attribuer un nom à consonance chrétienne sur une tradition païenne. Cela est fait autant pour tromper que pour permettre aux gens de se sentir « à l’aise » après avoir adopter des coutumes qui ne se retrouvent pas dans la Bible.
Voyez : « Entourant l’observance chrétienne de Pâques… des coutumes folkloriques ont été amassées dont plusieurs proviennent des anciennes cérémonies… [et des] symbolismes des festivals printaniers des païens de l’Europe et du Moyen-Orient… par exemple, les œufs… qui ont été importants en tant que symboles de vie nouvelle et de résurrection » Encyclopedia Britannica, éd. 1991, Vol. 4, p. 333
« Des œufs étaient suspendus dans les temples égyptiens. Bunsen attire notre attention sur l’œuf ordinaire, l’emblème de la vie féconde, sortant de la bouche du grand dieu de l’Égypte. L’œuf mystique de Babylone, qui donna naissance à la Vénus Ishtar, tomba du ciel dans l’Euphrate. Les œufs étaient des offrandes sacrées en Égypte, comme ils le sont toujours aujourd’hui en Chine et en Europe. Pâques, ou le printemps, était la saison de la naissance, qu’elle soit terrestre ou céleste. Egyptian Belief and Modern Thought de James Bonwick, p. 211-212
Comment illustrer l’origine des « œufs de Pâques » plus simplement ? Un œuf de « Pâques » est un œuf qui se rapporte à la fête de Pâques. Dieu n’a jamais autorisé d’œufs pour la Pâque ou pour les Pains sans Levain. Par contre les œufs de Pâques, eux, existent depuis des millénaires.
« L’origine des œufs de Pâques est basée sur la tradition des races indo-européennes… pour elles, les œufs étaient un symbole du printemps… Depuis les temps de la chrétienté, ils se virent attribué une interprétation religieuse, devenant le symbole de la pierre du sépulcre duquel sortit le Christ pour Sa nouvelle vie après Sa résurrection » Francis X. Weiser, Handbook of Christian Feasts and Customs, p. 233
Ceci est un exemple typique de la façon dont les coutumes et symboles païens sont attribuer un nom à consonance chrétienne sur une tradition païenne. Cela est fait autant pour tromper que pour permettre aux gens de se sentir « à l’aise » après avoir adopter des coutumes qui ne se retrouvent pas dans la Bible.
Voyez : « Entourant l’observance chrétienne de Pâques… des coutumes folkloriques ont été amassées dont plusieurs proviennent des anciennes cérémonies… [et des] symbolismes des festivals printaniers des païens de l’Europe et du Moyen-Orient… par exemple, les œufs… qui ont été importants en tant que symboles de vie nouvelle et de résurrection » Encyclopedia Britannica, éd. 1991, Vol. 4, p. 333
« Des œufs étaient suspendus dans les temples égyptiens. Bunsen attire notre attention sur l’œuf ordinaire, l’emblème de la vie féconde, sortant de la bouche du grand dieu de l’Égypte. L’œuf mystique de Babylone, qui donna naissance à la Vénus Ishtar, tomba du ciel dans l’Euphrate. Les œufs étaient des offrandes sacrées en Égypte, comme ils le sont toujours aujourd’hui en Chine et en Europe. Pâques, ou le printemps, était la saison de la naissance, qu’elle soit terrestre ou céleste. Egyptian Belief and Modern Thought de James Bonwick, p. 211-212
Comment illustrer l’origine des « œufs de Pâques » plus simplement ? Un œuf de « Pâques » est un œuf qui se rapporte à la fête de Pâques. Dieu n’a jamais autorisé d’œufs pour la Pâque ou pour les Pains sans Levain. Par contre les œufs de Pâques, eux, existent depuis des millénaires.
VI. Lapin de Pâques, chocolats et friandises
Francis Weiser à propos de l’origine du « lapin de Pâques » : « En Allemagne et en Autriche, de petits nids contenant des œufs, des pâtisseries et des bonbons sont cachés à divers endroits, et les enfants croient que le lapin de Pâques, très populaire dans ces pays aussi, a pondu des œufs et apporté les bonbons et, Le lapin de Pâques tire son origine des rites de fertilité païens pré-chrétiens… Le lapin de Pâques ne s’est jamais vu attribué de symbolisme religieux… Toutefois, il a acquis ce rôle précieux dans la célébration de Pâques en tant que producteur des œufs de Pâques pour les enfants de nombreux pays ». p.235-236
« Le lapin de Pâques n’est pas un vrai symbole chrétien » John Bradner, Symbols of Church Seasons and Days, p. 52, et « Bien qu’adopté dans nombre de cultures chrétiennes, le lapin de Pâques ne s’est jamais vu attribuer de rôle chrétien spécifique ». Mirsea Eliade, The Encyclopedia of Religion, p. 558
Considérez cette dernière citation : « Le lièvre, symbole de la fertilité de l’ancienne Égypte, un symbole conservé plus tard en Europe […] a été remplacé par le lapin de Pâques » Encyclopedia Britannica, 1991 éd., Vol. 4, p. 333
Même de nos jours, les lapins sont demeurés des symboles de fertilité. Et bien qu’on leur reconnaisse un taux de reproduction très élevé, il reste tout de même un problème - ils ne pondent pas d’œufs ! Bien que tous deux soient des symboles de fertilité, il n’y a pas moyen d’établir de liaison logique entre-eux. Dans un monde rempli de traditions païennes, la vérité et la logique sont souvent des victimes. Fusionner ces symboles avec le Christianisme rend ces pratiques idolâtres encore pires.
Aucun de ces symboles n’est de Dieu ou du Messie. Nos enfants, sans méfiance, ignorent totalement la véritable histoire qui se cache derrière ces derniers. C’est nous qui les entraînons à croire qu’ils possèdent une signification spéciale. L’idée qu’ils sont chrétiens est un mensonge que nous imposons à nos enfants innocents.
« Le lapin de Pâques n’est pas un vrai symbole chrétien » John Bradner, Symbols of Church Seasons and Days, p. 52, et « Bien qu’adopté dans nombre de cultures chrétiennes, le lapin de Pâques ne s’est jamais vu attribuer de rôle chrétien spécifique ». Mirsea Eliade, The Encyclopedia of Religion, p. 558
Considérez cette dernière citation : « Le lièvre, symbole de la fertilité de l’ancienne Égypte, un symbole conservé plus tard en Europe […] a été remplacé par le lapin de Pâques » Encyclopedia Britannica, 1991 éd., Vol. 4, p. 333
Même de nos jours, les lapins sont demeurés des symboles de fertilité. Et bien qu’on leur reconnaisse un taux de reproduction très élevé, il reste tout de même un problème - ils ne pondent pas d’œufs ! Bien que tous deux soient des symboles de fertilité, il n’y a pas moyen d’établir de liaison logique entre-eux. Dans un monde rempli de traditions païennes, la vérité et la logique sont souvent des victimes. Fusionner ces symboles avec le Christianisme rend ces pratiques idolâtres encore pires.
Aucun de ces symboles n’est de Dieu ou du Messie. Nos enfants, sans méfiance, ignorent totalement la véritable histoire qui se cache derrière ces derniers. C’est nous qui les entraînons à croire qu’ils possèdent une signification spéciale. L’idée qu’ils sont chrétiens est un mensonge que nous imposons à nos enfants innocents.
a) Un Sauveur de contrefaçon ?
Un des thèmes centraux du Nouveau Testament est que Jésus-Christ est venu s'offrir en sacrifice pour les tribus perdues d'Israël comme il est fait mention dans le Livre de Matthieu 15:24.
Matthieu 15:24-28 24Il répondit: Je n'ai été envoyé qu'aux brebis perdues de la maison d'Israël.25Mais elle vint se prosterner devant lui, disant: Seigneur, secours-moi! 26Il répondit: Il n'est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens. 27Oui, Seigneur, dit-elle, mais les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. 28Alors Jésus lui dit: Femme, ta foi est grande; qu'il te soit fait comme tu veux. Et, à l'heure même, sa fille fut guérie.
Le maître faussaire (satan, le diable, appelé le dieu de ce siècle [monde] dans 2 Corinthiens 4:4 cherche à contrefaire tous les aspects du plan de Dieu. Il « séduit toute la terre » Apocalypse 12:9. En tant que faussaire suprême, il a contrefait tous les aspects du christianisme y compris celui de l’identité du vrai Sauveur et de l’adoration qui lui est due.
Qui est le véritable « sauveur » au centre de la tradition du « dimanche de Pâques » ? Est-ce le Jésus-Christ de la Bible ? Si vous répondez « oui », en êtes-vous sûr ? L’Histoire donne la réponse suivante à cette question :
D’abord par ceci, « […] la conception d’un dieu-sauveur était plutôt normale dans l’ancien monde païen […]la conception du salut est une notion fondamentale lorsque l’on parle de dieux comme Osiris, Attis et Adonis […]». John M. Robertson, Christianity and Mythology, p. 395
Il continue par ce qui suit. « Il a souvent été préconisé que cette croyance en la résurrection de Jésus était due aux idées de résurrection divine qui étaient courantes dans le monde contemporain […] des histoires d’Attis, d’Adonis et d’Osiris […] Dans les histoires païennes, les renaissances sont des expressions joyeuses du renversement de défaites ; dans l’histoire chrétienne, elle est le complément à une mort victorieuse. On pourrait dire qu’Attis et Osiris sauvent par leur résurrection et Jésus par sa mort […] l’observance de Pâques n’a pas été spontanée à partir de la foi en la résurrection [du Christ], mais s’est développée en s’éloignant graduellement de la Pâque juive. La notion sous-jacente de la salutation pascale « Christ est ressuscité » est secondaire; ce concept vient de la fête et du fait qu’elle se tienne au printemps ; la fête ne provient pas de l’idée. L’idée de la résurrection du Christ a été injectée dans une ancienne pratique de l’observance de Pâques [qui existait déjà] et non l’inverse » A. Nock, Early Gentile Christianity and its Hellenistic Background, pp. 105-107.
Nous devons garder à l'esprit que Dieu a ordonné la célébration de la mort de Jésus-Christ et non celle de sa résurrection ! Et, finalement, la réalité de cette puissante contre-façon est rendue très claire par le réputé historien James George Frazer : « La mort et la résurrection d’Attis étaient officiellement célébrées à Rome les 24 et 25 mars, ce dernier jour étant considéré comme l’équinoxe du printemps, et [… ] selon une ancienne tradition très répandue, Christ aurait souffert le 25 mars […] la tradition qui veut que le 25 mars soit le jour de la mort du Christ […] est d’autant plus remarquable que les considérations astronomiques prouvent qu’elle n’a aucun fondement historique […] Lorsque nous nous rappelons que la fête de Saint-Georges en avril a remplacé l’ancien festival païen de Parilia ; que la fête de Saint-Jean-Baptiste en juin a pris la place de la fête païenne de l’eau de la mi-été ; que la fête de l’Assomption de la Vierge en août a déplacé la fête de Diane ; que la fête des morts [qui suit l’Halloween et la Toussaint] en novembre est la continuation, comme son nom l’indique, d’un ancien festival païen en l’honneur des morts ; et que la nativité du Christ elle-même a été placée au solstice d’hiver en décembre parce qu’il était désigné comme moment de la naissance du soleil, nous ne pouvons pas être accusé d’être téméraire ou irrationnel en présumant que l’autre fête principale de « l’Église chrétienne » — la célébration de Pâques — ait pu être, de la même façon et pour les mêmes raisons, adaptée à partir d’une célébration similaire du dieu phrygien Attis lors de l’équinoxe du printemps […] C’est une coïncidence remarquable […] que les fêtes chrétiennes et païennes de la mort et de la résurrection soient célébrées au même moment […] Il est difficile de considérer la coïncidence comme purement accidentelle ». The Golden Bough, Vol. I, pp. 306-309
Nous pouvons résumer ce qui est dit ci-dessus. L’Église catholique romaine avait pour habitude d’absorber les fêtes païennes - en leur collant un nom « chrétien » et en les appelant des fêtes « chrétiennes ». Cela était fait avec l’intention de rendre le « Christianisme » plus acceptable et plus familier aux adorateurs païens que l’Église voulait attirer.
b) Comment les choses en sont-elles venues à cela ?
On peut maintenant mieux comprendre pourquoi l’apôtre Paul a écrit aux Corinthiens de se méfier en parlant d’un « autre Jésus que celui que nous avons prêché ». Il a dit : « Toutefois, de même que le serpent séduisit Ève par sa ruse, je crains que vos pensées ne se corrompent et ne se détournent de la simplicité à l’égard de Christ. Car, si quelqu’un vient vous prêcher un autre Jésus que celui que nous avons prêché, ou si vous recevez un autre Esprit que celui que vous avez reçu, ou un autre Évangile que celui que vous avez embrassé […] ». 2 Corinthiens 11 :3-4
Les gens, aujourd’hui, peuvent penser qu’ils adorent le vrai Sauveur alors qu’en réalité, ils adorent un faux sauveur - un autre Jésus ! La totalité du Christianisme traditionnel adore en réalité Baal, le médiateur et le dieu-soleil, dont le nom dans la langue d’origine nous dit-on, dérive étymologiquement de celui de son « épouse » Ishtar (qui est en fait sa mère Sémiramis) - et qui, nous le verrons plus tard, est appelée dans la Bible, la « Reine du Ciel ».
Il est possible pour les gens d’adorer sincèrement mais en le faisant d’une façon telle que cela rende un culte à quelqu’un de bien différent de Celui qu’ils veulent honorer. http://www.israelites-guadeloupe.com
Un des thèmes centraux du Nouveau Testament est que Jésus-Christ est venu s'offrir en sacrifice pour les tribus perdues d'Israël comme il est fait mention dans le Livre de Matthieu 15:24.
Matthieu 15:24-28 24Il répondit: Je n'ai été envoyé qu'aux brebis perdues de la maison d'Israël.25Mais elle vint se prosterner devant lui, disant: Seigneur, secours-moi! 26Il répondit: Il n'est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens. 27Oui, Seigneur, dit-elle, mais les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. 28Alors Jésus lui dit: Femme, ta foi est grande; qu'il te soit fait comme tu veux. Et, à l'heure même, sa fille fut guérie.
Le maître faussaire (satan, le diable, appelé le dieu de ce siècle [monde] dans 2 Corinthiens 4:4 cherche à contrefaire tous les aspects du plan de Dieu. Il « séduit toute la terre » Apocalypse 12:9. En tant que faussaire suprême, il a contrefait tous les aspects du christianisme y compris celui de l’identité du vrai Sauveur et de l’adoration qui lui est due.
Qui est le véritable « sauveur » au centre de la tradition du « dimanche de Pâques » ? Est-ce le Jésus-Christ de la Bible ? Si vous répondez « oui », en êtes-vous sûr ? L’Histoire donne la réponse suivante à cette question :
D’abord par ceci, « […] la conception d’un dieu-sauveur était plutôt normale dans l’ancien monde païen […]la conception du salut est une notion fondamentale lorsque l’on parle de dieux comme Osiris, Attis et Adonis […]». John M. Robertson, Christianity and Mythology, p. 395
Il continue par ce qui suit. « Il a souvent été préconisé que cette croyance en la résurrection de Jésus était due aux idées de résurrection divine qui étaient courantes dans le monde contemporain […] des histoires d’Attis, d’Adonis et d’Osiris […] Dans les histoires païennes, les renaissances sont des expressions joyeuses du renversement de défaites ; dans l’histoire chrétienne, elle est le complément à une mort victorieuse. On pourrait dire qu’Attis et Osiris sauvent par leur résurrection et Jésus par sa mort […] l’observance de Pâques n’a pas été spontanée à partir de la foi en la résurrection [du Christ], mais s’est développée en s’éloignant graduellement de la Pâque juive. La notion sous-jacente de la salutation pascale « Christ est ressuscité » est secondaire; ce concept vient de la fête et du fait qu’elle se tienne au printemps ; la fête ne provient pas de l’idée. L’idée de la résurrection du Christ a été injectée dans une ancienne pratique de l’observance de Pâques [qui existait déjà] et non l’inverse » A. Nock, Early Gentile Christianity and its Hellenistic Background, pp. 105-107.
Nous devons garder à l'esprit que Dieu a ordonné la célébration de la mort de Jésus-Christ et non celle de sa résurrection ! Et, finalement, la réalité de cette puissante contre-façon est rendue très claire par le réputé historien James George Frazer : « La mort et la résurrection d’Attis étaient officiellement célébrées à Rome les 24 et 25 mars, ce dernier jour étant considéré comme l’équinoxe du printemps, et [… ] selon une ancienne tradition très répandue, Christ aurait souffert le 25 mars […] la tradition qui veut que le 25 mars soit le jour de la mort du Christ […] est d’autant plus remarquable que les considérations astronomiques prouvent qu’elle n’a aucun fondement historique […] Lorsque nous nous rappelons que la fête de Saint-Georges en avril a remplacé l’ancien festival païen de Parilia ; que la fête de Saint-Jean-Baptiste en juin a pris la place de la fête païenne de l’eau de la mi-été ; que la fête de l’Assomption de la Vierge en août a déplacé la fête de Diane ; que la fête des morts [qui suit l’Halloween et la Toussaint] en novembre est la continuation, comme son nom l’indique, d’un ancien festival païen en l’honneur des morts ; et que la nativité du Christ elle-même a été placée au solstice d’hiver en décembre parce qu’il était désigné comme moment de la naissance du soleil, nous ne pouvons pas être accusé d’être téméraire ou irrationnel en présumant que l’autre fête principale de « l’Église chrétienne » — la célébration de Pâques — ait pu être, de la même façon et pour les mêmes raisons, adaptée à partir d’une célébration similaire du dieu phrygien Attis lors de l’équinoxe du printemps […] C’est une coïncidence remarquable […] que les fêtes chrétiennes et païennes de la mort et de la résurrection soient célébrées au même moment […] Il est difficile de considérer la coïncidence comme purement accidentelle ». The Golden Bough, Vol. I, pp. 306-309
Nous pouvons résumer ce qui est dit ci-dessus. L’Église catholique romaine avait pour habitude d’absorber les fêtes païennes - en leur collant un nom « chrétien » et en les appelant des fêtes « chrétiennes ». Cela était fait avec l’intention de rendre le « Christianisme » plus acceptable et plus familier aux adorateurs païens que l’Église voulait attirer.
b) Comment les choses en sont-elles venues à cela ?
On peut maintenant mieux comprendre pourquoi l’apôtre Paul a écrit aux Corinthiens de se méfier en parlant d’un « autre Jésus que celui que nous avons prêché ». Il a dit : « Toutefois, de même que le serpent séduisit Ève par sa ruse, je crains que vos pensées ne se corrompent et ne se détournent de la simplicité à l’égard de Christ. Car, si quelqu’un vient vous prêcher un autre Jésus que celui que nous avons prêché, ou si vous recevez un autre Esprit que celui que vous avez reçu, ou un autre Évangile que celui que vous avez embrassé […] ». 2 Corinthiens 11 :3-4
Les gens, aujourd’hui, peuvent penser qu’ils adorent le vrai Sauveur alors qu’en réalité, ils adorent un faux sauveur - un autre Jésus ! La totalité du Christianisme traditionnel adore en réalité Baal, le médiateur et le dieu-soleil, dont le nom dans la langue d’origine nous dit-on, dérive étymologiquement de celui de son « épouse » Ishtar (qui est en fait sa mère Sémiramis) - et qui, nous le verrons plus tard, est appelée dans la Bible, la « Reine du Ciel ».
Il est possible pour les gens d’adorer sincèrement mais en le faisant d’une façon telle que cela rende un culte à quelqu’un de bien différent de Celui qu’ils veulent honorer. http://www.israelites-guadeloupe.com
Considérez l’exemple classique suivant : Ezéchiel 8:13-18 Et il me dit : Tu verras encore d’autres grandes abominations qu’ils commettent… Et voici, il y avait là des femmes assises, qui pleuraient Thammuz…Et il me conduisit dans le parvis intérieur de la maison de l’Éternel. Et voici, à l’entrée du temple de l’Eternel, entre le portique et l’autel, il y avait environ vingt-cinq hommes, tournant le dos au temple de l’Eternel et le visage vers l’Orient; et ils se prosternaient à l’orient devant le soleil. Et il me dit : Vois-tu, fils de l’homme ? Est-ce trop peu… de commettre les abominations qu’ils commettent ici ? Faut-il encore … qu’ils ne cessent de m’irriter… Moi aussi, j’agirai avec fureur; mon œil sera sans pitié, et je n’aurai point de miséricorde; quand ils crieront à haute voix à mes oreilles, je ne les écouterai pas.
Participer à la cérémonie du lever du soleil est quelque chose de très grave aux yeux de Dieu ! Il déteste tellement cette pratique vile qu’Il anéantira éventuellement tous ceux qui continueront de perpétuer des pratiques abominables.
Ézéchiel 9: 9-10 9Il me répondit: L'iniquité de la maison d'Israël et de Juda est grande, excessive; le pays est rempli de meurtres, la ville est pleine d'injustice, car ils disent: L'Eternel a abandonné le pays, l'Eternel ne voit rien. 10Moi aussi, je serai sans pitié, et je n'aurai point de miséricorde; je ferai retomber leurs œuvres sur leur tête.
Des millions de personnes font cela régulièrement à Pâques. Cela a peut-être l’air « religieux » et sembler même « merveilleux » et « très émouvant » pour les participants, mais Dieu a défendu à son peuple de s’inventer des coutumes religieuses et d’adorer selon ses propres idées ou celles des autres nations. Il n’est pas intéressé par ce que les gens pensent ou croient être correct. Il est intéressé par ceux qui se préoccupent de ce que Lui pense et a ordonné ! En ce qui concerne Dieu, l’ancienne forme d’adoration du soleil déguisée sous les dehors de Pâques n’est qu’un emballage moderne d’une très vieille coutume païenne et idolâtre mentionnés dans le livre d'Ezéchiel.
Deutéronome 12:28-32 28Garde et écoute toutes ces choses que je t'ordonne, afin que tu sois heureux, toi et tes enfants après toi, à perpétuité, en faisant ce qui est bien et ce qui est droit aux yeux de l'Eternel, ton Dieu. 29Lorsque l'Eternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi, lorsque tu les auras chassées et que tu te seras établi dans leur pays, 30garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu'elles auront été détruites devant toi. Garde-toi de t'informer de leurs dieux et de dire: Comment ces nations servaient-elles leurs dieux? Moi aussi, je veux faire de même. 31Tu n'agiras pas ainsi à l'égard de l'Eternel, ton Dieu; car elles servaient leurs dieux en faisant toutes les abominations qui sont odieuses à l'Eternel, et même elles brûlaient au feu leurs fils et leurs filles en l'honneur de leurs dieux.
32Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne; vous n'y ajouterez rien, et vous n'en retrancherez rien.
Participer à la cérémonie du lever du soleil est quelque chose de très grave aux yeux de Dieu ! Il déteste tellement cette pratique vile qu’Il anéantira éventuellement tous ceux qui continueront de perpétuer des pratiques abominables.
Ézéchiel 9: 9-10 9Il me répondit: L'iniquité de la maison d'Israël et de Juda est grande, excessive; le pays est rempli de meurtres, la ville est pleine d'injustice, car ils disent: L'Eternel a abandonné le pays, l'Eternel ne voit rien. 10Moi aussi, je serai sans pitié, et je n'aurai point de miséricorde; je ferai retomber leurs œuvres sur leur tête.
Des millions de personnes font cela régulièrement à Pâques. Cela a peut-être l’air « religieux » et sembler même « merveilleux » et « très émouvant » pour les participants, mais Dieu a défendu à son peuple de s’inventer des coutumes religieuses et d’adorer selon ses propres idées ou celles des autres nations. Il n’est pas intéressé par ce que les gens pensent ou croient être correct. Il est intéressé par ceux qui se préoccupent de ce que Lui pense et a ordonné ! En ce qui concerne Dieu, l’ancienne forme d’adoration du soleil déguisée sous les dehors de Pâques n’est qu’un emballage moderne d’une très vieille coutume païenne et idolâtre mentionnés dans le livre d'Ezéchiel.
Deutéronome 12:28-32 28Garde et écoute toutes ces choses que je t'ordonne, afin que tu sois heureux, toi et tes enfants après toi, à perpétuité, en faisant ce qui est bien et ce qui est droit aux yeux de l'Eternel, ton Dieu. 29Lorsque l'Eternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi, lorsque tu les auras chassées et que tu te seras établi dans leur pays, 30garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu'elles auront été détruites devant toi. Garde-toi de t'informer de leurs dieux et de dire: Comment ces nations servaient-elles leurs dieux? Moi aussi, je veux faire de même. 31Tu n'agiras pas ainsi à l'égard de l'Eternel, ton Dieu; car elles servaient leurs dieux en faisant toutes les abominations qui sont odieuses à l'Eternel, et même elles brûlaient au feu leurs fils et leurs filles en l'honneur de leurs dieux.
32Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne; vous n'y ajouterez rien, et vous n'en retrancherez rien.
Jérémie 7:18 Les enfants ramassent du bois, les pères allument le feu, et les femmes pétrissent la pâte, pour préparer des gâteaux à la reine du ciel, et pour faire des libations à d’autres dieux, afin de m’irriter ».
Aschtaroth - la reine du ciel
L’adoration d’Astarté (de Easter – Pâques) a toujours été associée à l’adoration de Baal ou du soleil. Astarté était l’épouse de Baal. La citation suivante rend cela très clair : « Que signifie le mot « Easter » lui-même. Il ne s’agit pas d’un nom d’origine chrétienne, mais bien d’origine chaldéenne. « Easter » n’est rien d’autre qu’Astarté, un des titres de Beltis, la reine des cieux […] La déesse assyrienne, ou Astarté, est identifiée avec Sémiramis par Athenagoras Legatio, vol. ii. p. 179, et par Lucien De Dea Syria, vol iii. p. 382 […]
Et aucun nom peut mieux illustrer le caractère de Sémiramis, en tant que reine de Babylone, que la signification même de son nom « Ascht-tart ». « La femme qui fit les tours »[…] Aschturit, est donc […] de toute évidence la même personne que l’Aschtaroth dont parlent les Hébreux. Alexander Hislop, The Two Babylons, pp. 103, 307-308
« Ishtar était la Grande Mère, la déesse de la fertilité et la reine du ciel ». Donc, en réalité, Aschtaroth (Ishtar) était la veuve (mère/épouse) Sémiramis, et courtisane de Nimrod, comme l’attestent tant d’anciens historiens. La fête de Pâques est donc maintenant établie comme rien d’autre que celle de l’Aschtaroth de la Bible. Microsoft Encarta Multimédia Encyclopedia
"Les enfants d’Israël firent alors ce qui déplaît [ra’ah = le mal] à l’Eternel, et ils servirent les Baals […] ils abandonnèrent l’Eternel, et ils servirent Baal et les Astartés [Ishtar]"
Juges 2:11-13 11Les enfants d'Israël firent alors ce qui déplaît à l'Eternel, et ils servirent les Baals. 12Ils abandonnèrent l'Eternel, le Dieu de leurs pères, qui les avait fait sortir du pays d'Egypte, et ils allèrent après d'autres dieux d'entre les dieux des peuples qui les entouraient; ils se prosternèrent devant eux, et ils irritèrent l'Eternel. 13Ils abandonnèrent l'Eternel, et ils servirent Baal et les Astartés.
Le contexte montre que Dieu permit que son peuple soit emmené en captivité hors de son pays à cause de ce péché! Le passage continue en expliquant que Dieu a délivré son peuple fois après fois par l’intermédiaire d’une série de juges. Après chaque libération, Israël retournait vers les mêmes faux dieux, ce qui entraînait une autre captivité suite à une conquête par une des nations voisines. Ils ne semblaient jamais être capables d’apprendre, comme le dit le verset 19Mais, à la mort du juge, ils se corrompaient de nouveau plus que leurs pères, en allant après d'autres dieux pour les servir et se prosterner devant eux, et ils persévéraient dans la même conduite et le même endurcissement.
Au chapitre 10 du même livre, verset 6, Israël répète le même comportement. Et Dieu, répète également qu’ils Lui déplaisent [ra’ah = font le mal].
Juges 10:6 6Les enfants d'Israël firent encore ce qui déplaît à l'Eternel; ils servirent les Baals et les Astartés, les dieux de Syrie, les dieux de Sidon, les dieux de Moab, les dieux des fils d'Ammon, et les dieux des Philistins, et ils abandonnèrent l'Eternel et ne le servirent plus.
L’adoration de Baal et d’Aschtaroth est réapparue pendant le temps de Samuel. Ce dernier dit à Israël : « […] ôtez du milieu de vous les dieux étrangers et les Astartés, dirigez votre cœur vers l’Éternel, et servez-le lui seul; et il vous délivrera de la main des Philistins. Et les enfants d’Israël ôtèrent du milieu d’eux les Baals et les Astartés, et ils servirent l’Eternel seul » 2 Samuel 7:3-4
Au chapitre 12 du Livre de 1 Samuel, Samuel raconte publiquement l’histoire d’Israël, et leur rappelait qu’ils retournaient à Dieu mais retombaient continuellement dans l’idolâtrie. Cette leçon est une description de l’ancien Israël mais aussi de notre monde moderne. Parce qu’Israël ne pouvait demeurer sur la bonne voie, il fut éventuellement emmené en captivité.
1 Samuel 12:10-12 10Ils crièrent encore à l'Eternel, et dirent: Nous avons péché, car nous avons abandonné l'Eternel, et nous avons servi les Baals et les Astartés; délivre-nous maintenant de la main de nos ennemis, et nous te servirons. 11Et l'Eternel envoya Jerubbaal, Bedan, Jephthé et Samuel, et il vous délivra de la main de vos ennemis qui vous entouraient, et vous demeurâtes en sécurité.12Puis, voyant que Nachasch, roi des fils d'Ammon, marchait contre vous, vous m'avez dit: Non! mais un roi régnera sur nous. Et cependant l'Eternel, votre Dieu, était votre roi.
Juges 2:11-13 11Les enfants d'Israël firent alors ce qui déplaît à l'Eternel, et ils servirent les Baals. 12Ils abandonnèrent l'Eternel, le Dieu de leurs pères, qui les avait fait sortir du pays d'Egypte, et ils allèrent après d'autres dieux d'entre les dieux des peuples qui les entouraient; ils se prosternèrent devant eux, et ils irritèrent l'Eternel. 13Ils abandonnèrent l'Eternel, et ils servirent Baal et les Astartés.
Le contexte montre que Dieu permit que son peuple soit emmené en captivité hors de son pays à cause de ce péché! Le passage continue en expliquant que Dieu a délivré son peuple fois après fois par l’intermédiaire d’une série de juges. Après chaque libération, Israël retournait vers les mêmes faux dieux, ce qui entraînait une autre captivité suite à une conquête par une des nations voisines. Ils ne semblaient jamais être capables d’apprendre, comme le dit le verset 19Mais, à la mort du juge, ils se corrompaient de nouveau plus que leurs pères, en allant après d'autres dieux pour les servir et se prosterner devant eux, et ils persévéraient dans la même conduite et le même endurcissement.
Au chapitre 10 du même livre, verset 6, Israël répète le même comportement. Et Dieu, répète également qu’ils Lui déplaisent [ra’ah = font le mal].
Juges 10:6 6Les enfants d'Israël firent encore ce qui déplaît à l'Eternel; ils servirent les Baals et les Astartés, les dieux de Syrie, les dieux de Sidon, les dieux de Moab, les dieux des fils d'Ammon, et les dieux des Philistins, et ils abandonnèrent l'Eternel et ne le servirent plus.
L’adoration de Baal et d’Aschtaroth est réapparue pendant le temps de Samuel. Ce dernier dit à Israël : « […] ôtez du milieu de vous les dieux étrangers et les Astartés, dirigez votre cœur vers l’Éternel, et servez-le lui seul; et il vous délivrera de la main des Philistins. Et les enfants d’Israël ôtèrent du milieu d’eux les Baals et les Astartés, et ils servirent l’Eternel seul » 2 Samuel 7:3-4
Au chapitre 12 du Livre de 1 Samuel, Samuel raconte publiquement l’histoire d’Israël, et leur rappelait qu’ils retournaient à Dieu mais retombaient continuellement dans l’idolâtrie. Cette leçon est une description de l’ancien Israël mais aussi de notre monde moderne. Parce qu’Israël ne pouvait demeurer sur la bonne voie, il fut éventuellement emmené en captivité.
1 Samuel 12:10-12 10Ils crièrent encore à l'Eternel, et dirent: Nous avons péché, car nous avons abandonné l'Eternel, et nous avons servi les Baals et les Astartés; délivre-nous maintenant de la main de nos ennemis, et nous te servirons. 11Et l'Eternel envoya Jerubbaal, Bedan, Jephthé et Samuel, et il vous délivra de la main de vos ennemis qui vous entouraient, et vous demeurâtes en sécurité.12Puis, voyant que Nachasch, roi des fils d'Ammon, marchait contre vous, vous m'avez dit: Non! mais un roi régnera sur nous. Et cependant l'Eternel, votre Dieu, était votre roi.
La Bible déclare que le roi Salomon était l’homme le plus sage qui n’ait jamais vécu. Et pourtant, il fit une erreur que Dieu considéra si grave, qu’après la mort de celui-ci, Il enleva le royaume des mains de son fils. Son erreur ? Il maria, entre autres, une femme qui le poussa à adorer Ishtar [Aschtaroth].
1 Rois 11:4-6 4A l'époque de la vieillesse de Salomon, ses femmes inclinèrent son cœur vers d'autres dieux; et son cœur ne fut point tout entier à l'Eternel, son Dieu, comme l'avait été le cœur de David, son père. 5Salomon alla après Astarté, divinité des Sidoniens, et après Milcom, l'abomination des Ammonites. 6Et Salomon fit ce qui est mal aux yeux de l'Eternel, et il ne suivit point pleinement l'Eternel, comme David, son père.
Les versets 11 et 12 montrent que le royaume fut enlevé à son fils à cause de cela. 1 Rois 11:11-13 11Et l'Eternel dit à Salomon: Puisque tu as agi de la sorte, et que tu n'as point observé mon alliance et mes lois que je t'avais prescrites, je déchirerai le royaume de dessus toi et je le donnerai à ton serviteur. 12Seulement, je ne le ferai point pendant ta vie, à cause de David, ton père. C'est de la main de ton fils que je l'arracherai. 13Je n'arracherai cependant pas tout le royaume; je laisserai une tribu à ton fils, à cause de David, mon serviteur, et à cause de Jérusalem, que j'ai choisie.
1 Rois 11:4-6 4A l'époque de la vieillesse de Salomon, ses femmes inclinèrent son cœur vers d'autres dieux; et son cœur ne fut point tout entier à l'Eternel, son Dieu, comme l'avait été le cœur de David, son père. 5Salomon alla après Astarté, divinité des Sidoniens, et après Milcom, l'abomination des Ammonites. 6Et Salomon fit ce qui est mal aux yeux de l'Eternel, et il ne suivit point pleinement l'Eternel, comme David, son père.
Les versets 11 et 12 montrent que le royaume fut enlevé à son fils à cause de cela. 1 Rois 11:11-13 11Et l'Eternel dit à Salomon: Puisque tu as agi de la sorte, et que tu n'as point observé mon alliance et mes lois que je t'avais prescrites, je déchirerai le royaume de dessus toi et je le donnerai à ton serviteur. 12Seulement, je ne le ferai point pendant ta vie, à cause de David, ton père. C'est de la main de ton fils que je l'arracherai. 13Je n'arracherai cependant pas tout le royaume; je laisserai une tribu à ton fils, à cause de David, mon serviteur, et à cause de Jérusalem, que j'ai choisie.
VII. De la Pâque (biblique) à Pâques (païenne)
Ci-dessous une sélection de citations exposants les différentes tentatives d'élimination des fêtes du Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob.
«Bien que l’observance de Pâques fît partie très tôt de la pratique de l’Église chrétienne [la fausse], un différent très sérieux survint entre les Chrétiens de souche juive et païenne quant au jour où la fête devait être observée, ce qui mena à une longue et amère controverse […] Les Chrétiens juifs […] [observaient] le 14ème jour de la lune au crépuscule […] sans tenir compte du jour de la semaine. Les Chrétiens de souche païenne [i.e. Catholiques romains] […] identifiaient le premier jour de la semaine avec celui de la résurrection et observaient le vendredi précédent en tant que commémoration de la crucifixion, peu importe le jour du mois. D’une façon générale, les Églises d’Occident (Catholiques romaines) observaient Pâques le premier jour de la semaine, alors que les Églises d’Orient [incluant les restes de la véritable Église] observaient la règle juive [la véritable Pâque chrétienne]. Polycarpe, disciple de l’évangéliste Jean (le dernier des 12 apôtres), évêque de Smyrne, visita Rome en 159 (sic) afin de discuter du sujet avec Anicète, l’évêque de ce siège, et de soutenir la tradition d’observer le 14e jour qu’il avait reçue des apôtres. Toutefois, Anicète refusa. Environ 40 ans plus tard, en (197), la question fut à nouveau discutée dans un esprit bien différent entre Victor, évêque de Rome et Polycrate, Métropolitain de l’Asie proconsulaire. Cette province [où se retrouvaient les Églises fondées par l’apôtre Paul, comme Antioche et toutes celles qui sont identifiées dans Apocalypse 2 et 3 comme étant la véritable Église] était le seul segment de la Chrétienté qui adhérait toujours aux juifs. |
Victor exigea que tous acceptent les usages en cours à Rome. Polycrate refusa catégoriquement et présenta plusieurs raisons sérieuses justifiant le contraire, suite à quoi Victor procéda à l’excommunication de Polycrate et des Chrétiens qui continuaient selon l’usage [correct] des Églises d’Orient. Il fut, par contre, conseillé (par un groupe d’autres évêques) de ne pas appliquer le décret d’excommunication… et les Églises asiatiques purent poursuivre leurs pratiques sans être molestées. Nous constatons que les usages juifs [i.e. la vraie Pâque du Nouveau Testament] réapparaissent de temps à autre par la suite, mais n’ont jamais été la pratique dominante.
Un règlement final de la discussion fut une des raisons qui poussèrent Constantin [l’empereur romain] à convoquer le concile de Nicée en 325. À cette époque, les Syriens et ceux d’Antioche étaient les champions de l’observance du 14ème jour. La décision du concile fut unanime en faveur de l’observance de Pâques un dimanche, le même dimanche à travers le monde entier et que nul par la suite ne devait suivre l’aveuglement des Juifs. [En d’autres mots, personne n’était autorisé à suivre l’exemple du Christ et de la véritable Église qu’Il avait fondée !]. Les QUELQUES PERSONNES qui se séparèrent par la suite de l’unité [politiquement imposée] de l’Église et qui continuèrent à observer le 14e jour furent surnommées les Quartodécimani [du mot latin quatorze] et la discussion elle-même fut appelée la controverse « quartodécimane » Encyclopedia Britannica, 11e édition (Vol. VIII, pp. 828-829) |
« Une question de grande importance survint à cette époque. Car les paroisses de toute l’Asie, basée sur une vieille tradition, croyaient que le quatorzième jour de la lune, ce même jour que les Juifs avaient pour ordonnance d’immoler l’agneau, devait être observé comme fête de la Pâque de notre Sauveur… les évêques d’Asie, dirigés par Polycrate, ont décidé de conserver cette ancienne coutume qui leur avait été transmise. Lui-même, dans une lettre adressée à Victor et à l’Église de Rome, a décrit par les mots suivants la tradition qui lui avait été confiée » : « Nous observons le jour exact, n’ajoutant rien et ne retranchant rien. Car en Asie de grandes lumières se sont éteintes et se lèveront à nouveau au Jour du Seigneur alors qu’Il viendra du ciel dans la gloire pour retrouver les saints. Parmi eux, Philippe, un des douze apôtres… et, de plus, Jean qui fut à la fois un témoin et un enseignant, qui s’inclina sur la poitrine du Seigneur… et Polycarpe à Smyrne, qui fut évêque et martyr, et Thraseas, évêque et martyr d’Euménie… les évêques et martyrs Sagaris… le cher Papirius, ou Mélito… tous ceux-ci ont observé le quatorzième jour de la Pâque selon l’Évangile, ne déviant aucunement, mais obéissant à la règle de foi ». Ecclesiastical History, Livre V, chapitres XXIII et XXIV - publication d'Eusèbe
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« Quartodécimane, un mot utilisé pour décrire la pratique de l’Église des débuts de célébrer la Pâque le 14 Nisan (die quarta decima), le jour de la Pâque juive (Exode 12 :6). Le « quartodécimanisme », retrouvé en Asie mineure et en Syrie au II siècle, mettait l’emphase sur la mort du Christ, la véritable victime pascale (Jean 18:28 ; 19 :42), alors que la pratique romaine met l’emphase sur l’observance du dimanche en tant que jour de la résurrection. Sous-entendue dans ces deux positions, il y a la contestation de la chronologie de la Semaine Sainte. Lorsque que le Christianisme se sépara du Judaïsme, les Chrétiens s’opposèrent à l’observance de la principale fête chrétienne le même jour que la Pâque juive.
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Les efforts déployés par les Romains pour pousser ceux qui observaient le 14 Nisan à abandonner leur pratique n’eurent pas de succès. Lors d’une visite à Rome (c. 155), Saint-Polycarpe de Smyrne discuta amicalement de la question avec le Pape Anicète sans toutefois pouvoir arriver à un accord. Le Pape Victor (189-198) tenta d’établir l’unité par une série de synodes qui se sont tenus à l’Ouest comme à l’Est ; tous acceptèrent la pratique romaine à l’exception des évêques asiatiques. Lorsque Victor essaya de les contraindre sous peine d’excommunication, Saint-Irénée de Lyon intervint afin de rétablir la paix. (Eusèbe, Hist Eccl. 5:23-25). Pendant le III siècle, le « quartodécimanisme » diminua; Il persista dans certaines communautés asiatiques jusqu’au V siècle » Vol 12, p. 13 La New Catholic Encyclopedia de 1967
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VIII. Deux Églises : La grande substitution
Il y a deux Églises totalement différentes qui sont décrites dans le Nouveau Testament. La première, la véritable Église que Jésus-Christ a bâtie, est décrite comme la fiancée de Christ, abandonnant ce monde et ses voies afin d’être pure lorsqu’Il viendra vers elle. Mais, partout dans le Nouveau Testament, il est prophétisé que de faux enseignants [prophètes] s’immisceraient dans l’organisation de l’Église et en prendrait le contrôle. Les vrais serviteurs du Christ devraient alors fuir un grand nombre de leurs congrégations originelles s’ils voulaient continuer à obéir à Dieu. Ils ne seraient donc qu’un "petit troupeau", souvent dispersé et n’ayant aucun pouvoir politique dans ce monde.
Le monde ne s’est pas vraiment intéressé à cette petite Église, dispersée et persécutée, mais Christ a promis qu’Il ne l’abandonnerait jamais et que les portes du séjour des morts ne prévaudraient point contre elle.
Matthieu 16:18-19 Et je te dis aussi, que tu es Pierre, et sur cette pierre j'édifierai mon Eglise; et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle. 19Et je te donnerai les clefs du Royaume des cieux; et tout ce que tu auras lié sur la terre, sera lié dans les cieux; et tout ce que tu auras délié sur la terre, sera délié dans les cieux.
Bien que l'Eglise dût périodiquement se disperser pour survivre Christ a fidèlement tenu Sa promesse de demeurer avec elle, la fortifiant et la soutenant par Son Esprit.
Actes 8:1 Saul avait approuvé le meurtre d'Etienne. Il y eut, ce jour-là, une grande persécution contre l'Eglise de Jérusalem; et tous, excepté les apôtres, se dispersèrent dans les contrées de la Judée et de la Samarie.
Malgré une persécution continuelle même pendant des périodes où elle était martyrisée par les grandes Églises populaires qui ont toujours cherché à la détruire un reste a constamment existé. Et ce reste « garde les commandements de Dieu et la foi de Jésus-Christ comme il est écrit.
Révélation 14:12 C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus.
Le monde ne s’est pas vraiment intéressé à cette petite Église, dispersée et persécutée, mais Christ a promis qu’Il ne l’abandonnerait jamais et que les portes du séjour des morts ne prévaudraient point contre elle.
Matthieu 16:18-19 Et je te dis aussi, que tu es Pierre, et sur cette pierre j'édifierai mon Eglise; et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle. 19Et je te donnerai les clefs du Royaume des cieux; et tout ce que tu auras lié sur la terre, sera lié dans les cieux; et tout ce que tu auras délié sur la terre, sera délié dans les cieux.
Bien que l'Eglise dût périodiquement se disperser pour survivre Christ a fidèlement tenu Sa promesse de demeurer avec elle, la fortifiant et la soutenant par Son Esprit.
Actes 8:1 Saul avait approuvé le meurtre d'Etienne. Il y eut, ce jour-là, une grande persécution contre l'Eglise de Jérusalem; et tous, excepté les apôtres, se dispersèrent dans les contrées de la Judée et de la Samarie.
Malgré une persécution continuelle même pendant des périodes où elle était martyrisée par les grandes Églises populaires qui ont toujours cherché à la détruire un reste a constamment existé. Et ce reste « garde les commandements de Dieu et la foi de Jésus-Christ comme il est écrit.
Révélation 14:12 C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus.
Cette importante citation rend absolument claire l’histoire complète de ce qui s’est passé et de la façon dont cela s’est produit. L’Histoire nous dit que Polycarpe fut martyrisé en revenant de Rome (brûlé à mort dans une ferme), seulement quelques jours après avoir rencontré Anicète sur la question de la Pâque versus les Pâques (Païennes). Il fut certainement tué parce qu’il ne voulait pas faire de compromis sur la façon correcte d’observer la Pâque (Biblique).
« Occasionnellement, les « quartodécimans » célébraient Pâques le jour où les autres Chrétiens célébraient le Vendredi Saint. Au tout début, les deux célébrations étaient autorisées mais graduellement il sembla incongru pour les Chrétiens de célébrer Pâques un jour de fête juive, et l’on demanda que la principale fête chrétienne soit célébrée dans l’unité » La New Catholic Encyclopedia (Vol 5, p.8).
Le concile de Nicée « décida » pour tous dans l’affaire des Pâques versus la Pâque comme mentionné dans la citation suivante:
« En ce qui concerne Pâques, les Pères décrétèrent (1) que tous les Chrétiens devaient l’observer le même jour, (2) que les coutumes juives ne devaient pas être suivies, et (3) que les pratiques de l’Est, de l’Égypte et des autres Églises devaient demeurer telle quelle, c’est-à-dire célébrer Pâques le dimanche suivant la première pleine lune après l’équinoxe du printemps La New Catholic Encyclopedia (Vol 5, p. 433).
« Après les mesures sévères du Pape, les « Quartodécimans » semblent avoir graduellement diminué en nombre. Origène dans « Philosophumena » (VIII, xviii) semble les considérer comme une poignée de non-conformistes entêtés. DEUXIÈME PHASE : « La seconde étape de la controverse de Pâques se concentre autour du concile de Nicée [an 325] confirmant que la grande fête de Pâques devait toujours se tenir un dimanche, sans être en accord avec une phase quelconque de la Lune qui pouvait tomber n’importe quel jour de la semaine » The Catholic Encyclopedia Edition 1909 - Vol. 5, p. 228.
La vérité est que Pâques (Païenne) a toujours été en relation avec la Lune, peu importe le jour avec lequel la fête coïncidait. (Le mot « mois » – « month » en anglais vient du mot Moon – Lune). Le 14e jour de Nisan (Abib) était selon les instructions de Dieu (Ex 12 :1-6) – et non pas le dimanche le plus près de cette date ou d’une autre.
La décision finale à Nicée en 325, cite les mots de l’empereur Constantin qui écrit à toutes les églises : « À cette assemblée, la question concernant le jour très saint de Pâques a été discutée, et il a été résolu, par jugement unanime de tous ceux qui étaient présents, que cette fête doit être observée par tous, partout et le même jour…Et avant tout, il est apparu indigne que la célébration de cette fête très sainte doive suivre la pratique des Juifs qui ont souillé leurs mains d’une manière impie par un grand péché… car nous avons reçu de Notre-Seigneur une manière différente [ceci est faux car Christ n’a jamais commandé une ‘manière différente’] […] Et je me suis moi-même engagé pour que cette décision rencontre l’approbation de vos Sagacités dans l’espoir que Vos Sagesses accepteront avec joie cette pratique qui est déjà observée dans la cité de Rome et en Afrique, à travers l’Italie et en Égypte… et ce dans un jugement unanime ». Catholic Encyclopedia (Vol 5, p.228).
[...] « La décision finale repose toujours entre les mains de l’autorité ecclésiastique reconnue […] et, […] était d’abord une question de discipline ecclésiastique et non de science astronomique ». Catholic Encyclopedia (p. 229)
« Après les mesures sévères du Pape, les « Quartodécimans » semblent avoir graduellement diminué en nombre. Origène dans « Philosophumena » (VIII, xviii) semble les considérer comme une poignée de non-conformistes entêtés. DEUXIÈME PHASE : « La seconde étape de la controverse de Pâques se concentre autour du concile de Nicée [an 325] confirmant que la grande fête de Pâques devait toujours se tenir un dimanche, sans être en accord avec une phase quelconque de la Lune qui pouvait tomber n’importe quel jour de la semaine » The Catholic Encyclopedia Edition 1909 - Vol. 5, p. 228.
La vérité est que Pâques (Païenne) a toujours été en relation avec la Lune, peu importe le jour avec lequel la fête coïncidait. (Le mot « mois » – « month » en anglais vient du mot Moon – Lune). Le 14e jour de Nisan (Abib) était selon les instructions de Dieu (Ex 12 :1-6) – et non pas le dimanche le plus près de cette date ou d’une autre.
La décision finale à Nicée en 325, cite les mots de l’empereur Constantin qui écrit à toutes les églises : « À cette assemblée, la question concernant le jour très saint de Pâques a été discutée, et il a été résolu, par jugement unanime de tous ceux qui étaient présents, que cette fête doit être observée par tous, partout et le même jour…Et avant tout, il est apparu indigne que la célébration de cette fête très sainte doive suivre la pratique des Juifs qui ont souillé leurs mains d’une manière impie par un grand péché… car nous avons reçu de Notre-Seigneur une manière différente [ceci est faux car Christ n’a jamais commandé une ‘manière différente’] […] Et je me suis moi-même engagé pour que cette décision rencontre l’approbation de vos Sagacités dans l’espoir que Vos Sagesses accepteront avec joie cette pratique qui est déjà observée dans la cité de Rome et en Afrique, à travers l’Italie et en Égypte… et ce dans un jugement unanime ». Catholic Encyclopedia (Vol 5, p.228).
[...] « La décision finale repose toujours entre les mains de l’autorité ecclésiastique reconnue […] et, […] était d’abord une question de discipline ecclésiastique et non de science astronomique ». Catholic Encyclopedia (p. 229)
Ces deux courtes phrases établissent sans contredit que c’est l’autorité de l’Église de Rome, et non la Parole de Dieu, qui a déterminé si les Pâques (Païennes) ou la Pâque devrait être observés.
Seulement quelque-uns demeurèrent fidèles à la vérité — et il en a toujours été ainsi. Éventuellement toutes les fausses églises païennes virent leur influence politique augmenter et la peine de mort fut imposée pour quiconque observait le Sabbat divin du septième jour et les autres Jours Saints, comme la Pâque. Les vrais Chrétiens ont toujours dû fuir là où ils le pouvaient afin de continuer à observer les Commandements de Dieu et Sa vérité.
À travers les siècles, ces mêmes Chrétiens (une seule véritable Église), bien qu’ignorés et persécutés par le monde, ont toujours conservé la vérité divine et ont retenu ce point de doctrine particulier ainsi que bien d’autres vérités bibliques.
Seulement quelque-uns demeurèrent fidèles à la vérité — et il en a toujours été ainsi. Éventuellement toutes les fausses églises païennes virent leur influence politique augmenter et la peine de mort fut imposée pour quiconque observait le Sabbat divin du septième jour et les autres Jours Saints, comme la Pâque. Les vrais Chrétiens ont toujours dû fuir là où ils le pouvaient afin de continuer à observer les Commandements de Dieu et Sa vérité.
À travers les siècles, ces mêmes Chrétiens (une seule véritable Église), bien qu’ignorés et persécutés par le monde, ont toujours conservé la vérité divine et ont retenu ce point de doctrine particulier ainsi que bien d’autres vérités bibliques.
IX. L'accomplissement de La Pâque en Christ
Les instructions du Nouveau Testament étaient d’observer la Pâque avec les nouveaux symboles du pain et du vin. La Pâque du Nouveau Testament contient aussi une ordonnance d’humilité appelée le lavement des pieds. Cette directive se retrouve dans Jean 13 :2-15 et Christ a commandé de l’enseigner à tous ceux qui apprendraient les doctrines divines. Christ a ordonné à Ses disciples.
Matthieu 28:19-20 Allez, faites de toutes les nations des disciples… et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit.
Cette ordonnance inclut la Pâque accompagnée du lavement des pieds et les symboles du pain et du vin. Cela comprend également les Jours des Pains sans Levain et toutes les autres fêtes divines annuelles.
Deutéronome 12: 28-32 Garde, et écoute toutes ces paroles-ci que je te commande, afin que tu prospères, toi et tes enfants après toi à jamais, quand tu auras fait ce que l'Eternel ton Dieu approuve, et qu il trouve bon et droit. 29Quand l'Eternel ton Dieu aura exterminé de devant toi les nations, au pays desquelles tu vas pour le posséder, et que tu l'auras possédé, et seras habitant de leur pays, 30Prends garde à toi, de peur que tu ne sois pris au piège après elles, quand elles auront été détruites de devant toi; et que tu ne recherches leurs dieux, en disant : Comme ces nations-là servaient leurs dieux, je le ferai aussi tout de même. 31Tu ne feras point ainsi à l'Eternel ton Dieu; car ces nations ont fait à leurs dieux tout ce qui est en abomination à l'Eternel, [et] qu'il hait; car même ils ont brûlé au feu leurs fils et leurs filles à leurs dieux. 32Vous prendrez garde de faire tout ce que je vous commande. Tu n'y ajouteras rien, et tu n'en diminueras rien.
L’idée de la « résurrection un dimanche » devint le moyen de soutenir l’observance de ce jour (l’adoration le jour du soleil, *Sunday) au lieu d’observer le jour du Sabbat divin. *en anglais sun= soleil _day= jour à savoir JOUR DU SOLEIL
Matthieu 15:6-9 Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition… C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.
Aujourd'hui, ces versets s’appliquent directement à ceux qui rejettent la Pâque afin de célébrer Pâques. Des centaines de millions de personnes observent la grande fête idolâtre païenne appelé Pâques, croyant honorer par là Jésus-Christ. La grande majorité est totalement ignorante de ce qu’elle fait.
Actes 17:30-31 Mais Dieu passant par-dessus ces temps de l'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes en tous lieux qu'ils se repentent. 31Parce qu'il a arrêté un jour auquel il doit juger selon la justice le monde universel, par l'homme qu'il a destiné [pour cela]; de quoi il a donné une preuve cer- taine à tous, en l'ayant ressuscité d'entre les morts.
L’idée de la « résurrection un dimanche » devint le moyen de soutenir l’observance de ce jour (l’adoration le jour du soleil, *Sunday) au lieu d’observer le jour du Sabbat divin. *en anglais sun= soleil _day= jour à savoir JOUR DU SOLEIL
Matthieu 15:6-9 Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition… C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.
Aujourd'hui, ces versets s’appliquent directement à ceux qui rejettent la Pâque afin de célébrer Pâques. Des centaines de millions de personnes observent la grande fête idolâtre païenne appelé Pâques, croyant honorer par là Jésus-Christ. La grande majorité est totalement ignorante de ce qu’elle fait.
Actes 17:30-31 Mais Dieu passant par-dessus ces temps de l'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes en tous lieux qu'ils se repentent. 31Parce qu'il a arrêté un jour auquel il doit juger selon la justice le monde universel, par l'homme qu'il a destiné [pour cela]; de quoi il a donné une preuve cer- taine à tous, en l'ayant ressuscité d'entre les morts.
**Nous devons retourner à la foi transmise par les Saintes Ecritures. Observons donc d’une manière humble et soumise "La Pâque" (biblique) telle qu’elle est commandée dans les Écritures, après le coucher du soleil, le 14ème jour du mois Abib [Nisan] (mois de mars) selon le calendrier établi par Dieu. Sa volonté sera ainsi faite sur la terre comme au ciel. http://www.israelites-guadeloupe.com