LA FÊTE DE NOËL
Coutume païenne non Biblique
Le Livre de Jérémie 10:2-3
Ainsi parle l’Éternel: N’imitez pas la voie des nations, [...] Car les coutumes des peuples ne sont que vanité.
Jérémie 10:1-5 Écoutez la parole que l’Éternel vous adresse, maison d'Israël! 2Ainsi parle l’Éternel: N’imitez pas la voie des nations, et ne craignez pas les signes du ciel, parce que les nations les craignent. 3Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois (l’arbre) dans la forêt ; la main de l’ouvrier le travaille avec la hache. 4On l’embellit avec de l’argent et de l’or, on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu’il ne branle pas. 5Ces dieux sont comme une colonne massive* [à l'origine: tomer* = palmier dressé], et ils ne parlent point; on les porte, parce qu’ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas, car ils ne sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien.
**Ces versets décrivent précisément une idole faite de bois. Toutefois, les idoles pouvaient aussi être façonnées à partir de pierre, de marbre, de métal, d'or etc. Il ne donne pas de détail sur les différents types d' idoles mais traite tout particulièrement de la préparation du sapin de Noël comme nous le connaissons et faisons encore de nos jours. Certains façonnent encore leur sapin "à l'ancienne" comme le décrivent ces versets, d'autres ne peuvent s'offrir que la version synthétique. Il s'agit pourtant de la même pratique païenne. http://www.israelites-guadeloupe.com
La référence aux signes du ciel dont il est fait mention au verset 2, serait traduite de façon plus appropriée par le solstice d’hiver. La majorité des gens n'est pas au courant de la relation entre Noël et le solstice d’hiver et encore moins de son origine païenne. La célébration de Noël a toujours été une coutume, une tradition et au fil des années elle a révélée sa vraie nature : Une fête purement commerciale.
Il convient de connaître la signification des coutumes et leurs origines pour en comprendre la portée. En effet, nous lisons au verset 2 ci-dessus « N’imitez pas la voie des nations ». Pourquoi donc? Les nations avaient des coutumes et traditions étrangères au Peuple d'Israël.
Bien que ce passage mette en exergue une pratique ancienne du temps de Jérémie, nous savons aussi que le livre a une portée prophétique car Jérémie était bien un prophète. Nous devons donc le comprendre et l’utiliser comme une injonction, une instruction valable pour notre époque et les années à venir. Nous savons comme il est écrit que toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre. 2 Timothée 3:16 De plus, ériger un tel arbre s'apparente à de l’idolâtrie.
Jérémie 10:5 Ces dieux sont comme une colonne massive, et ils ne parlent point; On les porte, parce qu'ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas, car ils ne sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien.
**Ces versets décrivent précisément une idole faite de bois. Toutefois, les idoles pouvaient aussi être façonnées à partir de pierre, de marbre, de métal, d'or etc. Il ne donne pas de détail sur les différents types d' idoles mais traite tout particulièrement de la préparation du sapin de Noël comme nous le connaissons et faisons encore de nos jours. Certains façonnent encore leur sapin "à l'ancienne" comme le décrivent ces versets, d'autres ne peuvent s'offrir que la version synthétique. Il s'agit pourtant de la même pratique païenne. http://www.israelites-guadeloupe.com
La référence aux signes du ciel dont il est fait mention au verset 2, serait traduite de façon plus appropriée par le solstice d’hiver. La majorité des gens n'est pas au courant de la relation entre Noël et le solstice d’hiver et encore moins de son origine païenne. La célébration de Noël a toujours été une coutume, une tradition et au fil des années elle a révélée sa vraie nature : Une fête purement commerciale.
Il convient de connaître la signification des coutumes et leurs origines pour en comprendre la portée. En effet, nous lisons au verset 2 ci-dessus « N’imitez pas la voie des nations ». Pourquoi donc? Les nations avaient des coutumes et traditions étrangères au Peuple d'Israël.
Bien que ce passage mette en exergue une pratique ancienne du temps de Jérémie, nous savons aussi que le livre a une portée prophétique car Jérémie était bien un prophète. Nous devons donc le comprendre et l’utiliser comme une injonction, une instruction valable pour notre époque et les années à venir. Nous savons comme il est écrit que toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre. 2 Timothée 3:16 De plus, ériger un tel arbre s'apparente à de l’idolâtrie.
Jérémie 10:5 Ces dieux sont comme une colonne massive, et ils ne parlent point; On les porte, parce qu'ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas, car ils ne sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien.
**Gardons présent à l'esprit que ce sapin est décoré, orné pour une période donnée. Les cadeaux sont placés au pied du sapin et les enfants s'agenouillent pour les ouvrir. Imiter la voie des nations en célébrant leurs fêtes païennes c'est précisément transgresser la loi de Dieu référencée dans le livre d'Exode chapitre 20 versets 4 à 6. http://www.israelites-guadeloupe.com
Noël, Nwel, Noël oh!, Nwel O!, Nwèlo
**À ce stade, plusieurs questions sont susceptibles d'être posées : Quelle est l’origine de Noël ? Quelle est la véritable origine du Père Noël? http://www.israelites-guadeloupe.com
Chaque année, à l'approche du mois de décembre les pensées d’un grand nombre de personnes convergent vers les fêtes de Noël et plus particulièrement les enfants. Cette fête païenne, introuvable dans les Saintes Écritures, est célébrée aux quatre coins de la terre. Même les non chrétiens célèbrent Noël. Que se passe t-il? N'importe qui, célébrant Noël, s'accorderait à dire que pour eux, Noël c'est : la naissance du Christ, une affaire de famille (retrouvailles, réconciliations etc....), un moment de partage (échange de cadeaux), l'occasion de faire preuve de bonté, la manifestation d'un esprit dit féerique (neige, guirlandes, décorations, luminaires (décoration des maisons, concours...), musique, films, cantiques de Noël, les différents mets, le père Noël pour les enfants, (arbres de Noël avec le Comité d'Entreprise etc...), les emplettes de Noël (vitrines...) etc...
En fonction de son lieu de résidence et selon les traditions locales certaines adaptations très distinctes sont à noter. Aux Antilles, vous aurez droit au boudin créole, jus de groseille, alcool (rhum), shrub, jambon de Noël, pois de bois, viande de cochon, igname, orchestre local (chanté Noël, chanté nwel)...
Chaque année, à l'approche du mois de décembre les pensées d’un grand nombre de personnes convergent vers les fêtes de Noël et plus particulièrement les enfants. Cette fête païenne, introuvable dans les Saintes Écritures, est célébrée aux quatre coins de la terre. Même les non chrétiens célèbrent Noël. Que se passe t-il? N'importe qui, célébrant Noël, s'accorderait à dire que pour eux, Noël c'est : la naissance du Christ, une affaire de famille (retrouvailles, réconciliations etc....), un moment de partage (échange de cadeaux), l'occasion de faire preuve de bonté, la manifestation d'un esprit dit féerique (neige, guirlandes, décorations, luminaires (décoration des maisons, concours...), musique, films, cantiques de Noël, les différents mets, le père Noël pour les enfants, (arbres de Noël avec le Comité d'Entreprise etc...), les emplettes de Noël (vitrines...) etc...
En fonction de son lieu de résidence et selon les traditions locales certaines adaptations très distinctes sont à noter. Aux Antilles, vous aurez droit au boudin créole, jus de groseille, alcool (rhum), shrub, jambon de Noël, pois de bois, viande de cochon, igname, orchestre local (chanté Noël, chanté nwel)...
Toutes ces choses associées à cette fête apportent chacune d’elles, à tous ceux qui la célèbrent, un sentiment de douce chaleur. C’est le moment de l'année où les chrétiens pratiquants doivent se concentrer sur Jésus-Christ. Après tout, dirait-on, c’est une période qui lui est dédiée, puisqu'il s'agit en fait de la célébration de sa naissance n'est-ce pas? http://www.israelites-guadeloupe.com
L'esprit de Noël est profondément ancré dans l'association célébration-famille. Le 24 décembre au soir, la nervosité, l'anxiété et excitation atteignent leur paroxysme (enfants comme adultes). "Ma décoration de table va t-elle plaire à mes convives? Mon menu est-il à la hauteur? Ma tenue va t-elle plaire? Je l'ai payée chère!...". Les parents sont complices d'un mensonge qui leur coûtera leur âme. Ce soir là, les enfants ont du mal à s'endormir ayant qu'une chose en tête, impatients d’arriver au matin, découvrir ce que le « Père Noël » leur a apporté cette année après leur commande. Et oui, les enfants écrivent au Père Noël! Le père Noël serait-il éternel? Avez-vous, vous aussi eu le déplaisir de partager ce mensonge perpétuel? Noël a des attributs de fêtes féeriques, on parle même de la magie de Noël. C'est pour la plupart, une des plus belles période de l’année à ne surtout pas rater. http://www.israelites-guadeloupe.com
Respirez! Les questions s'accumulent. Noël, une période magique certes mais, qui nous a appris cette coutume? Qui a présenté cette fête à nos parents, à nos grands-parents ? Avez-vous déjà remis en question le bien fondé de Noël sur un plan biblique? Y aurait-t-il ne serait-ce qu'une raison de douter de sa validité?
Nous devons garder à l'esprit que la voie est étroite pour les vrais serviteurs du Christ. Pourtant la plupart des chrétiens d'aujourd'hui font ce que tous les autres font parce que c’est aisé, simple, naturel et surtout sans contraintes. Ils pensent certainement être "sauvés par la grâce".
Christ a t-il ordonné la célébration de son soit-disant anniversaire le 25 décembre? Les apôtres du Nouveau Testament observaient-ils cette fête ?
La célébration de cette fête est une excuse avec pour motif une croyance chrétienne erronée. La naissance du Christ est devenue la raison pour la saison" "Christ is the reason for the season". En d'autres termes, Le Christ a été pris en otage sous couvert de cette célébration païenne. http://www.israelites-guadeloupe.com
Noël : Origine païenne
**Pour la plupart, être privé(e) d'une telle célébration reviendrait à se sentir lésé(e) d'une certaine façon. Les adultes défendent cette idée que Noël appartient aux enfants et à la communauté. Il serait impensable pour le commun des mortels d'ôter la féerie et l'innocence de cette fête aux enfants. Il serait aisé d'entendre dire que : "Noël est une tradition universelle qui ne fait partie d’aucune religion car elle la transcende. Il n'y a aucun mal à la célébrer". D'ailleurs, c'est une fête qui fait partie intégrante de toutes les cultures à travers le monde.
Sachez que pratiquement tout dans la célébration de Noël est enraciné dans les coutumes et la religion romaine. Lisez ce qu’en a dit un important journal américain The Buffalo News, 22 novembre 1984 : « La référence la plus ancienne à la célébration de Noël un 25 décembre, est datée du second siècle après la naissance de Jésus-Christ. On croit que les premières célébrations de Noël se tinrent en réaction aux saturnales romaines, un festival des moissons à l’occasion du solstice d’hiver - le retour du Soleil - et pour honorer Saturne, le dieu des semailles. Les saturnales étaient une période plutôt chahuteuse à laquelle s’opposaient fermement les chefs austères de la secte chrétienne encore minoritaire de l’époque. La fête de Noël, dit un érudit, a pris de l’ampleur parce qu’elle servit à remplacer l’adoration du soleil (Sun) par l’adoration du Fils (Son). En 529 après J.-C.., après que le christianisme fut devenu la religion d’état, l’empereur Justinien fit de Noël une fête officielle. La célébration de celle-ci atteint son summum — certains diront son point le plus bas — pendant la période médiévale lorsqu’elle devint une période de consommation incontrôlée et de festivités encore inégalées. »
Considérez ces citations tirées de l’Encyclopédie catholique, édition 1911, sous la rubrique « Noël ». « Noël n’était pas une des premières fêtes de l’Église […] les premières preuves de son existence proviennent d’Égypte.» De plus, « Les coutumes païennes de la période des calendes de janvier se déplacèrent vers Noël. » Sous le titre « jour de la nativité », Origène, un des premiers écrivains catholiques admet. : «[…] Dans les Écritures, on ne voit personne fêter ou tenir un grand banquet le jour de son anniversaire. Ce ne sont que les pécheurs (comme Pharaon et Hérode) qui tiennent de grandes réjouissances, l’anniversaire du jour où ils sont nés dans ce monde»
L’Encyclopédie Americana, édition 1956, ajoute : « Noël… ne fut pas observée pendant les premiers siècles puisque l’usage était, en général, de célébrer la mort de personnes importantes plutôt que leur naissance…Une fête fut établie pour cet événement (la naissance du Christ) au quatrième siècle. Au cinquième siècle l’Église de l’Ouest ordonna que la fête soit célébrée perpétuellement le jour des rites mithriaques de la naissance du Soleil ainsi qu’à la fin des saturnales, puisqu’il n’y avait aucune certitude quant à la date exacte de la naissance du Christ. » Cela a pris 300 ans avant que l’Église romaine observe Noël et ce n’est qu’au cinquième siècle qu’elle ne devint obligatoire dans tout l’empire en tant que festival officiel en l’honneur du « Christ ».
Sachez que pratiquement tout dans la célébration de Noël est enraciné dans les coutumes et la religion romaine. Lisez ce qu’en a dit un important journal américain The Buffalo News, 22 novembre 1984 : « La référence la plus ancienne à la célébration de Noël un 25 décembre, est datée du second siècle après la naissance de Jésus-Christ. On croit que les premières célébrations de Noël se tinrent en réaction aux saturnales romaines, un festival des moissons à l’occasion du solstice d’hiver - le retour du Soleil - et pour honorer Saturne, le dieu des semailles. Les saturnales étaient une période plutôt chahuteuse à laquelle s’opposaient fermement les chefs austères de la secte chrétienne encore minoritaire de l’époque. La fête de Noël, dit un érudit, a pris de l’ampleur parce qu’elle servit à remplacer l’adoration du soleil (Sun) par l’adoration du Fils (Son). En 529 après J.-C.., après que le christianisme fut devenu la religion d’état, l’empereur Justinien fit de Noël une fête officielle. La célébration de celle-ci atteint son summum — certains diront son point le plus bas — pendant la période médiévale lorsqu’elle devint une période de consommation incontrôlée et de festivités encore inégalées. »
Considérez ces citations tirées de l’Encyclopédie catholique, édition 1911, sous la rubrique « Noël ». « Noël n’était pas une des premières fêtes de l’Église […] les premières preuves de son existence proviennent d’Égypte.» De plus, « Les coutumes païennes de la période des calendes de janvier se déplacèrent vers Noël. » Sous le titre « jour de la nativité », Origène, un des premiers écrivains catholiques admet. : «[…] Dans les Écritures, on ne voit personne fêter ou tenir un grand banquet le jour de son anniversaire. Ce ne sont que les pécheurs (comme Pharaon et Hérode) qui tiennent de grandes réjouissances, l’anniversaire du jour où ils sont nés dans ce monde»
L’Encyclopédie Americana, édition 1956, ajoute : « Noël… ne fut pas observée pendant les premiers siècles puisque l’usage était, en général, de célébrer la mort de personnes importantes plutôt que leur naissance…Une fête fut établie pour cet événement (la naissance du Christ) au quatrième siècle. Au cinquième siècle l’Église de l’Ouest ordonna que la fête soit célébrée perpétuellement le jour des rites mithriaques de la naissance du Soleil ainsi qu’à la fin des saturnales, puisqu’il n’y avait aucune certitude quant à la date exacte de la naissance du Christ. » Cela a pris 300 ans avant que l’Église romaine observe Noël et ce n’est qu’au cinquième siècle qu’elle ne devint obligatoire dans tout l’empire en tant que festival officiel en l’honneur du « Christ ».
Le Christ peut-Il être honoré par la fête de Noël ?
**La justification la plus fréquente que l’on entende au sujet de Noël est que les gens ont remplacé les vieilles coutumes et intentions païennes en statuant que, maintenant, elles sont « centrées sur le Christ. » Plusieurs s'accordent à dire qu’ils « honorent le Christ » par leur observance de Noël. Le problème est que Dieu ne fait aucunement mention de cette acceptante à ses yeux. En fait, Il nous commande clairement de ne pas le faire. Observer Noël déshonore le Christ! Il considère tout ce qui s’y rapporte comme une abo-mi-na-tion! Noël n’a pas été ordonné par Dieu. C’est une tradition d’hommes. http://www.israelites-guadeloupe.com
Matthieu 15:9 C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.
Marc 7:9 Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition.
Malheur à ceux qui ignore la Parole de Dieu !
Matthieu 15:9 C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.
Marc 7:9 Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition.
Malheur à ceux qui ignore la Parole de Dieu !
Le Christ est-Il né un 25 décembre ?
**Le Christ est né durant l’automne. Plusieurs croient erronément qu’il est né au début de l’hiver, le 25 décembre! Ils se trompent.
Prêtez attention au commentaire d' Adam Clarke Bible Commentary, Volume 5, page 370, édition New York : « Il était habituel pour les Juifs d’envoyer leurs brebis au désert aux alentours de la Pâque (tôt le printemps), et de les ramener au bercail au début des premières pluies. » Ces premières pluies commencent entre le début de l’automne et la mi- automne. Si l’on poursuit la citation : « Pendant le temps de leur sortie les bergers les surveillaient nuit et jour. Comme […] le début de la pluie était tôt au mois de marchesvan, ce qui correspond en partie aux mois d’octobre et de novembre (commençant parfois en octobre), nous constatons que les brebis demeuraient à l’extérieur pendant tout l’été. Comme ces bergers n’avaient pas encore ramené leurs brebis au bercail, on peut supposer que le mois d’octobre n’avait pas encore commencé et que, conséquemment, notre Seigneur n’est pas né un 25 décembre, parce que les troupeaux étaient encore dans les champs. Il n’aurait pas pu naître plus tard qu’en septembre, les troupeaux étant toujours dans les champs, la nuit. En nous basant sur ces faits seulement, l’idée d’une nativité en décembre devrait être abandonnée. Le parcage des bêtes la nuit dans les champs est un fait chronologique […]»
Luc 2:8 nous donne le contexte de la soit-disant naissance du Christ. « Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux. » Veuillez remarquer qu’ils demeuraient dans les champs. Ceci ne s’est jamais produit au mois de décembre.
Esdras 10:9-13 et le Cantique des Cantiques 2:11 démontrent que l’hiver était la saison des pluies et que les bergers ne pouvaient demeurer dans les champs la nuit.
Un grand nombre d’encyclopédies stipulent clairement que le Christ n’est pas né un 25 décembre! L’Encyclopédie catholique confirme directement ce fait. En toute vraisemblance, le Christ est né en automne! Une longue explication technique prouverait ce point. Comme nous savons maintenant que la date du 25 décembre n’est même pas proche de la date de naissance du Christ, d’où proviennent donc les festivals associés à cette date?
« Dans le monde romain, les saturnales (17 décembre) étaient une période de réjouissances et d’échanges de cadeaux. Le 25 décembre était également considéré comme le jour de la naissance du dieu des mystères iranien Mithra, le soleil de justice. Le Jour de l’An romain (1er janvier), les maisons étaient décorées de verdure et de lumières et des cadeaux étaient remis aux enfants et aux pauvres. À ces célébrations étaient ajoutés les rites germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenant du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver, autant païens que chrétiens.» Encyclopédie Britannique, 15e édition, Vol. II, p. 903
Une dernière référence sur la question du 25 décembre en tant que soit-disant date de naissance du Christ est nécessaire. Prenez note de l’article paru dans le Toronto Star en décembre 1984, rédigé par Alan Edmonds et intitulé, «Nous devons beaucoup aux druides et aux Hollandais » La Réforme a quelque peu terni Noël. Déjà à cette époque certains ecclésiastiques politiciens rusés avaient adopté le festival hivernal païen comme la prétendue date de naissance de Jésus de Nazareth et y avaient joint quelques autres friandises païennes afin de les rendre acceptables.
Le 25 décembre n’a pas été choisi parce que c’était la naissance du Christ ou même parce qu’il s’en rapprochait. Cette date fut choisie parce qu’elle coïncidait avec le festival idolâtre et païen des saturnales et autres dieux païens! http://www.israelites-guadeloupe.com
Prêtez attention au commentaire d' Adam Clarke Bible Commentary, Volume 5, page 370, édition New York : « Il était habituel pour les Juifs d’envoyer leurs brebis au désert aux alentours de la Pâque (tôt le printemps), et de les ramener au bercail au début des premières pluies. » Ces premières pluies commencent entre le début de l’automne et la mi- automne. Si l’on poursuit la citation : « Pendant le temps de leur sortie les bergers les surveillaient nuit et jour. Comme […] le début de la pluie était tôt au mois de marchesvan, ce qui correspond en partie aux mois d’octobre et de novembre (commençant parfois en octobre), nous constatons que les brebis demeuraient à l’extérieur pendant tout l’été. Comme ces bergers n’avaient pas encore ramené leurs brebis au bercail, on peut supposer que le mois d’octobre n’avait pas encore commencé et que, conséquemment, notre Seigneur n’est pas né un 25 décembre, parce que les troupeaux étaient encore dans les champs. Il n’aurait pas pu naître plus tard qu’en septembre, les troupeaux étant toujours dans les champs, la nuit. En nous basant sur ces faits seulement, l’idée d’une nativité en décembre devrait être abandonnée. Le parcage des bêtes la nuit dans les champs est un fait chronologique […]»
Luc 2:8 nous donne le contexte de la soit-disant naissance du Christ. « Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux. » Veuillez remarquer qu’ils demeuraient dans les champs. Ceci ne s’est jamais produit au mois de décembre.
Esdras 10:9-13 et le Cantique des Cantiques 2:11 démontrent que l’hiver était la saison des pluies et que les bergers ne pouvaient demeurer dans les champs la nuit.
Un grand nombre d’encyclopédies stipulent clairement que le Christ n’est pas né un 25 décembre! L’Encyclopédie catholique confirme directement ce fait. En toute vraisemblance, le Christ est né en automne! Une longue explication technique prouverait ce point. Comme nous savons maintenant que la date du 25 décembre n’est même pas proche de la date de naissance du Christ, d’où proviennent donc les festivals associés à cette date?
« Dans le monde romain, les saturnales (17 décembre) étaient une période de réjouissances et d’échanges de cadeaux. Le 25 décembre était également considéré comme le jour de la naissance du dieu des mystères iranien Mithra, le soleil de justice. Le Jour de l’An romain (1er janvier), les maisons étaient décorées de verdure et de lumières et des cadeaux étaient remis aux enfants et aux pauvres. À ces célébrations étaient ajoutés les rites germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenant du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver, autant païens que chrétiens.» Encyclopédie Britannique, 15e édition, Vol. II, p. 903
Une dernière référence sur la question du 25 décembre en tant que soit-disant date de naissance du Christ est nécessaire. Prenez note de l’article paru dans le Toronto Star en décembre 1984, rédigé par Alan Edmonds et intitulé, «Nous devons beaucoup aux druides et aux Hollandais » La Réforme a quelque peu terni Noël. Déjà à cette époque certains ecclésiastiques politiciens rusés avaient adopté le festival hivernal païen comme la prétendue date de naissance de Jésus de Nazareth et y avaient joint quelques autres friandises païennes afin de les rendre acceptables.
Le 25 décembre n’a pas été choisi parce que c’était la naissance du Christ ou même parce qu’il s’en rapprochait. Cette date fut choisie parce qu’elle coïncidait avec le festival idolâtre et païen des saturnales et autres dieux païens! http://www.israelites-guadeloupe.com
Qui était Saturne ?
Prenez le temps d'analyser cette citation provenant d’un autre grand journal américain, The Democrat and the Chronicle, Rochester, New York, décembre 1984 : «Le festival romain des saturnales, 17 au 24 décembre, encourageait les citoyens à décorer leurs maisons avec de la verdure et des lumières et à faire des cadeaux aux enfants et aux pauvres. Le festival du 25 décembre, natalis solis invicti ou la naissance du soleil invincible, avait été décrété par l’empereur Aurélien en 274 ap. J.-C. en tant que célébration du solstice d’hiver et plus tard […] fut christianisé en tant que date à laquelle était né le Fils de la Lumière.»
Le Dr William Gutsch, président du Musée américain d’histoire naturelle — planétarium Hayden, a confirmé l’origine de Noël par la citation suivante, le 18 décembre 1989, dans le journal de Westchester, The Reporter Dispatch : « Les premiers Romains ne célébraient pas Noël mais plutôt une fête païenne appelée saturnales. C’était une fête annuelle qui se tenait au début de l’hiver, ou du solstice d’hiver. C’était la période pendant laquelle le soleil avait emprunté le chemin le plus bas au-dessus de l’horizon et où les jours commençaient à rallonger annonçant par cela une autre saison de croissance.
Le Dr William Gutsch, président du Musée américain d’histoire naturelle — planétarium Hayden, a confirmé l’origine de Noël par la citation suivante, le 18 décembre 1989, dans le journal de Westchester, The Reporter Dispatch : « Les premiers Romains ne célébraient pas Noël mais plutôt une fête païenne appelée saturnales. C’était une fête annuelle qui se tenait au début de l’hiver, ou du solstice d’hiver. C’était la période pendant laquelle le soleil avait emprunté le chemin le plus bas au-dessus de l’horizon et où les jours commençaient à rallonger annonçant par cela une autre saison de croissance.
Si plusieurs des ornements des saturnales ressemblent, d’une façon ou d’une autre, à ceux que nous avons aujourd’hui, nous savons maintenant où nous avons emprunté nos traditions de fêtes. En réalité, on a suggéré que bien que le Christ ne soit fort probablement pas né fin décembre, les premiers "chrétiens", étant toujours une secte hors-la-loi, avaient changé la date de la célébration de Noël pour celles des saturnales afin de ne pas attirer l’attention sur eux pendant qu’ils célébraient leur propre fête. »
Les saturnales, bien entendu, célébraient Saturne, le dieu du feu. Saturne était le dieu des semailles parce que la chaleur du soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. Il était aussi adoré lors de ce festival qui se tenait au plus creux de l’hiver, afin qu’il revienne (il était le « soleil ») réchauffer la terre pour que les semailles de printemps puissent avoir lieu.
La dite "planète Saturne" a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu ! http://www.israelites-guadeloupe.com
Les saturnales, bien entendu, célébraient Saturne, le dieu du feu. Saturne était le dieu des semailles parce que la chaleur du soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. Il était aussi adoré lors de ce festival qui se tenait au plus creux de l’hiver, afin qu’il revienne (il était le « soleil ») réchauffer la terre pour que les semailles de printemps puissent avoir lieu.
La dite "planète Saturne" a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu ! http://www.israelites-guadeloupe.com
Virtuellement, chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens (et parfois les Romains) l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Chronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz (en tant que Nimrod ressuscité en la personne de son fils), Moloch ou Baal (comme l’appelaient aussi les druides). Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimrod. Ce dernier est considéré comme le père de tous les dieux babyloniens.
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Les sacrifices d’enfants
**Veuillez noter la pratique horrible qui est associée à l’adoration du dieu du feu (Nimrod, Saturne, Vulcain, Chronos, Moloch et Baal) dans les références suivantes tirées du livre «Les deux Babylones » d’Alexander Hislop, p. 231.
«Maintenant, ceci est en concordance exacte avec le caractère du dirigeant suprême de ce système d’adoration du feu. Nimrod, en tant que représentation du feu dévorant, auquel les victimes humaines, tout particulièrement des enfants, étaient offertes en sacrifice, était considéré comme le grand dévoreur… Il était, bien entendu, le vrai père de tous les dieux babyloniens ; et, qui par la suite a toujours été universellement considéré en tant que tel. En tant que Père des dieux, il fut, comme nous l’avons vu, appelé Chronos. Tout le monde connaît l’histoire classique de celui qui simplement « dévorait ses fils aussitôt qu’ils naissaient ». Lempriere Classical Dictionnary, Saturn. Cette légende possède encore un sens plus profond ; toutefois, appliqué à Nimrod, dit « le Cornu », cela fait simplement allusion au fait que, en tant que représentation de Moloch ou Baal, les enfants étaient l’offrande la plus acceptable sur son autel. Nous possédons suffisamment de tristes preuves à ce sujet à partir des archives de l’Antiquité. «Les Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à Chronos ou Saturne.»
Mais pourquoi les sacrifices humains ont-ils une telle importance dans l’adoration de ce terrible dieu ? Quel bien les êtres humains pouvaient-ils espérer dans le fait de sacrifier leurs propres enfants?
Continuons : « […] Celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la divinité » et « par ce feu divin toutes les taches dues aux générations précédentes pouvaient être effacées. » C’est la raison pour laquelle ils [ont fait passer par le feu] à Moloch leurs fils et leurs filles. Jérémie 32:35
Aussi incroyable que cela puisse paraître, des êtres humains séduits croyaient réellement qu’ils plaisaient à leur « dieu » en sacrifiant leurs propres petits enfants innocents. Ils croyaient que le feu les purifiait du péché originel.
REMARQUE : La doctrine païenne énonçant la nécessité de passer du temps au purgatoire afin de purifier l’âme de tout péché tire son origine de cette croyance !
Nimrod est un personnage biblique mais qui était-il ? Nous avons déjà pu constater qu’il était un des faux dieux originaux de l’histoire. Mais que pouvons-nous apprendre de plus ?
«Maintenant, ceci est en concordance exacte avec le caractère du dirigeant suprême de ce système d’adoration du feu. Nimrod, en tant que représentation du feu dévorant, auquel les victimes humaines, tout particulièrement des enfants, étaient offertes en sacrifice, était considéré comme le grand dévoreur… Il était, bien entendu, le vrai père de tous les dieux babyloniens ; et, qui par la suite a toujours été universellement considéré en tant que tel. En tant que Père des dieux, il fut, comme nous l’avons vu, appelé Chronos. Tout le monde connaît l’histoire classique de celui qui simplement « dévorait ses fils aussitôt qu’ils naissaient ». Lempriere Classical Dictionnary, Saturn. Cette légende possède encore un sens plus profond ; toutefois, appliqué à Nimrod, dit « le Cornu », cela fait simplement allusion au fait que, en tant que représentation de Moloch ou Baal, les enfants étaient l’offrande la plus acceptable sur son autel. Nous possédons suffisamment de tristes preuves à ce sujet à partir des archives de l’Antiquité. «Les Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à Chronos ou Saturne.»
Mais pourquoi les sacrifices humains ont-ils une telle importance dans l’adoration de ce terrible dieu ? Quel bien les êtres humains pouvaient-ils espérer dans le fait de sacrifier leurs propres enfants?
Continuons : « […] Celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la divinité » et « par ce feu divin toutes les taches dues aux générations précédentes pouvaient être effacées. » C’est la raison pour laquelle ils [ont fait passer par le feu] à Moloch leurs fils et leurs filles. Jérémie 32:35
Aussi incroyable que cela puisse paraître, des êtres humains séduits croyaient réellement qu’ils plaisaient à leur « dieu » en sacrifiant leurs propres petits enfants innocents. Ils croyaient que le feu les purifiait du péché originel.
REMARQUE : La doctrine païenne énonçant la nécessité de passer du temps au purgatoire afin de purifier l’âme de tout péché tire son origine de cette croyance !
Nimrod est un personnage biblique mais qui était-il ? Nous avons déjà pu constater qu’il était un des faux dieux originaux de l’histoire. Mais que pouvons-nous apprendre de plus ?
Genèse 10:9 Il (Nimrod) fut un vaillant chasseur devant l’Éternel.
Le réputé historien juif, Flavius Josèphe a écrit dans « les Antiquités judaïques » des preuves importantes sur le rôle de Nimrod après le déluge. Voyez : […] Il (Nimrod) aspirait à la tyrannie […] Il leur offrit de les protéger contre lui (Dieu) s’il menaçait la Terre d’un nouveau déluge et de bâtir à cet effet une tour si haute que non seulement les eaux ne pourraient s’élever au-dessus. […] Ce peuple insensé se laissa aller à cette folle persuasion qu’il lui serait honteux de céder à Dieu. » Livre I, Chapitre IV, sec 2,3
C’est sous plusieurs noms que les premiers, et sans doute les plus grands, rebelles ont été adorés au moyen de fausses religions. Israël n’a jamais cessé de servir les nombreux faux dieux que Nimrod représentait.
Le réputé historien juif, Flavius Josèphe a écrit dans « les Antiquités judaïques » des preuves importantes sur le rôle de Nimrod après le déluge. Voyez : […] Il (Nimrod) aspirait à la tyrannie […] Il leur offrit de les protéger contre lui (Dieu) s’il menaçait la Terre d’un nouveau déluge et de bâtir à cet effet une tour si haute que non seulement les eaux ne pourraient s’élever au-dessus. […] Ce peuple insensé se laissa aller à cette folle persuasion qu’il lui serait honteux de céder à Dieu. » Livre I, Chapitre IV, sec 2,3
C’est sous plusieurs noms que les premiers, et sans doute les plus grands, rebelles ont été adorés au moyen de fausses religions. Israël n’a jamais cessé de servir les nombreux faux dieux que Nimrod représentait.
Ézéchiel 8:13-14 traite d’une vision au sujet des femmes d’Israël « qui pleuraient Thammuz ». Ce Thammuz (dieu du feu) aurait représenté Nimrod et l’étymologie du mot est absolument fascinante.
En hébreux Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu ». Pendant la guerre "Tempête du Désert", entre l’Irak et le Koweït, Saddam Hussein avait même nommé un de ses missiles « Thammuz ». Il avait certainement compris que la signification du nom impliquait du feu. http://www.israelites-guadeloupe.com
En hébreux Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu ». Pendant la guerre "Tempête du Désert", entre l’Irak et le Koweït, Saddam Hussein avait même nommé un de ses missiles « Thammuz ». Il avait certainement compris que la signification du nom impliquait du feu. http://www.israelites-guadeloupe.com
Le dieu Cananéen : Moloch
MOLOCH. Transcription grecque et latine de Molek. Le terme désigne le dieu suprême de nombreux peuples païens dans le voisinage d'Israël. Ur, Mâri, Ugarit, l'Assyrie et Ammon honorèrent ainsi un "dieu-roi".
MOLEK. Molek ou Mèlek est rendu Moloch dans certaines Bibles. Pour les auteurs sacrés, Molek désigne une fausse divinité ou l'une de ses idoles. De toutes, Molek est la plus monstrueuse. Son culte "exigeait" des sacrifices humains dont les victimes habituelles étaient des enfants qu'on brûlaient vifs. [...] Les sinistres chaudrons sacrificatoires surmontés de la statue du dieu cruel finirent par envahir toute la vallée (Haut lieu appelé Tophet situé dans la vallée de Ben-Himmon: La Géhenne), et leur usage devint à certaines périodes si ordinaires que naquirent pour les mentionner des expressions familières allant jusqu'au pléonastique "brûler par le feu". On trouvera ainsi: "faire passer par le feu", "faire passer à Molek", "livrer à Molek" ou, plus sobrement, "livrer en faisant passer". Sur une telle lancée, on brûlait d'ailleurs aussi "par le feu" en l'honneur de Baal ou de tout autre faux dieu. La Loi condamnait naturellement ces actes d'idolâtrie particulièrement odieux qui "profanaient le nom du Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob" et souillaient son sanctuaire". [...] Inspiré du Dictionnaire de la Bible, Éd. Robert Laffont, S.A. Page 959/MORÈ
MOLEK. Molek ou Mèlek est rendu Moloch dans certaines Bibles. Pour les auteurs sacrés, Molek désigne une fausse divinité ou l'une de ses idoles. De toutes, Molek est la plus monstrueuse. Son culte "exigeait" des sacrifices humains dont les victimes habituelles étaient des enfants qu'on brûlaient vifs. [...] Les sinistres chaudrons sacrificatoires surmontés de la statue du dieu cruel finirent par envahir toute la vallée (Haut lieu appelé Tophet situé dans la vallée de Ben-Himmon: La Géhenne), et leur usage devint à certaines périodes si ordinaires que naquirent pour les mentionner des expressions familières allant jusqu'au pléonastique "brûler par le feu". On trouvera ainsi: "faire passer par le feu", "faire passer à Molek", "livrer à Molek" ou, plus sobrement, "livrer en faisant passer". Sur une telle lancée, on brûlait d'ailleurs aussi "par le feu" en l'honneur de Baal ou de tout autre faux dieu. La Loi condamnait naturellement ces actes d'idolâtrie particulièrement odieux qui "profanaient le nom du Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob" et souillaient son sanctuaire". [...] Inspiré du Dictionnaire de la Bible, Éd. Robert Laffont, S.A. Page 959/MORÈ
**Voyons comment le peuple de Dieu, Israël, adorait Baal-Moloch une fois qu’il avait abandonné le vrai Dieu:
Jérémie 32:35 Ils ont bâti des hauts lieux à Baal dans la vallée de Ben-Hinnom, pour faire passer (par le feu) à Moloch leurs fils et leurs filles : Ce que je ne leur avais point ordonné ; et il ne m’était point venu à la pensée qu’ils commettraient de telles horreurs […].
**Veuillez noter que Dieu lui-même dit que de telles horreurs ne lui étaient jamais venues à la pensée.
Jérémie 19:5-6 Ils ont bâti des hauts lieux à Baal, pour brûler leurs enfants au feu en holocaustes à Baal : Ce que je n’avais ni ordonné ni prescrit, ce qui ne m’était point venu à la pensée. » C’est pourquoi voici, les jours viennent, dit l’Éternel, où ce lieu ne sera plus appelé Topheth et vallée de Ben-Hinnom, mais où on l’appellera vallée du carnage. Le verset 6 lie la vallée de Tophet et de Hinnom à ce genre de sacrifices. Jérémie 7:31 lie aussi la vallée de Tophet ou Hinnom aux sacrifices d’enfants. La signification de Tophet est « tambour – tambourin ». On faisait résonner les tambours afin d’étouffer les cris des victimes qui brûlaient dans les flammes.
**Prenez note de cette citation par John Milton, auteur du poème « Le Paradis Perdu », au sujet du terrible dieu Moloch : « D’abord s’avance Moloch, horrible roi, aspergé du sang des sacrifices humains et des larmes des pères et des mères, bien qu’à cause du bruit des tambours et des timbales retentissantes le cri de leurs enfants ne fût pas entendu lorsqu’il les passait par le feu devant cette sinistre idole. »
Bien entendu, plusieurs diront qu’ils ne sacrifient pas leurs enfants à Moloch aujourd’hui, mais nous vous invitons à poursuivre.
**Dans le Nouveau Testament, Étienne, le martyr, fut lapidé à mort, au moins en partie parce qu’il avait accusé ceux qui l’écoutaient de l’adoration de cette idole malveillante. Actes 7 :43 Lorsque le roi Josias, un juste, hérita du trône en tant que roi de Juda, il détruisit tous les autels de la vallée de Tophet (ou Hinnom — la même vallée que le Christ compara au feu de la géhenne dans Marc 9 :43-49 peu après avoir été couronné. Il avait réalisé tout le mal des pratiques qui se tenaient à cet endroit. http://www.israelites-guadeloupe.com
Jérémie 32:35 Ils ont bâti des hauts lieux à Baal dans la vallée de Ben-Hinnom, pour faire passer (par le feu) à Moloch leurs fils et leurs filles : Ce que je ne leur avais point ordonné ; et il ne m’était point venu à la pensée qu’ils commettraient de telles horreurs […].
**Veuillez noter que Dieu lui-même dit que de telles horreurs ne lui étaient jamais venues à la pensée.
Jérémie 19:5-6 Ils ont bâti des hauts lieux à Baal, pour brûler leurs enfants au feu en holocaustes à Baal : Ce que je n’avais ni ordonné ni prescrit, ce qui ne m’était point venu à la pensée. » C’est pourquoi voici, les jours viennent, dit l’Éternel, où ce lieu ne sera plus appelé Topheth et vallée de Ben-Hinnom, mais où on l’appellera vallée du carnage. Le verset 6 lie la vallée de Tophet et de Hinnom à ce genre de sacrifices. Jérémie 7:31 lie aussi la vallée de Tophet ou Hinnom aux sacrifices d’enfants. La signification de Tophet est « tambour – tambourin ». On faisait résonner les tambours afin d’étouffer les cris des victimes qui brûlaient dans les flammes.
**Prenez note de cette citation par John Milton, auteur du poème « Le Paradis Perdu », au sujet du terrible dieu Moloch : « D’abord s’avance Moloch, horrible roi, aspergé du sang des sacrifices humains et des larmes des pères et des mères, bien qu’à cause du bruit des tambours et des timbales retentissantes le cri de leurs enfants ne fût pas entendu lorsqu’il les passait par le feu devant cette sinistre idole. »
Bien entendu, plusieurs diront qu’ils ne sacrifient pas leurs enfants à Moloch aujourd’hui, mais nous vous invitons à poursuivre.
**Dans le Nouveau Testament, Étienne, le martyr, fut lapidé à mort, au moins en partie parce qu’il avait accusé ceux qui l’écoutaient de l’adoration de cette idole malveillante. Actes 7 :43 Lorsque le roi Josias, un juste, hérita du trône en tant que roi de Juda, il détruisit tous les autels de la vallée de Tophet (ou Hinnom — la même vallée que le Christ compara au feu de la géhenne dans Marc 9 :43-49 peu après avoir été couronné. Il avait réalisé tout le mal des pratiques qui se tenaient à cet endroit. http://www.israelites-guadeloupe.com
Les druides et les sacrifices humains
**Plusieurs ont entendu parler des druides (Astérix et Obélix peut-être). Cependant, peu savent qui ils étaient ou ce qu’ils étaient. Nous ferons allusion à eux un peu plus bas et verrons ce qui les relie à certaines pratiques de Noël bien connues. Nous devons d’abord établir quel était leur rôle dans les sacrifices humains.
Jules César est une des sources d’information les mieux connues s'agissant des druides. Ce qui suit est tiré de l’Encyclopédie Britannique. Cette citation, sous la rubrique « Druides », explique clairement qui ils étaient : « Druides, la classe instruite des anciens Celtes, dont le nom signifie Connaître (ou Trouver le chêne). On dit qu’ils fréquentaient les forêts de chênes et agissaient en tant que prêtres, enseignants et juges. Les archives les plus anciennes au sujet des druides proviennent du troisième siècle av. J.-C […] Les druides étaient en charge des sacrifices publics et privés et plusieurs jeunes hommes allaient vers eux pour être instruits. Ils jugeaient toutes les querelles privées et publiques et prononçaient les sentences […] La principale doctrine des Druides était l’immortalité de l’âme […] Ils offraient des victimes humaines pour ceux qui étaient gravement malades ou en danger de mort dans les batailles. D’énormes paniers d’osier étaient remplis d’hommes vivants pour être ensuite brûlés.
Bien que les druides choisissaient préférablement des criminels, ils sacrifiaient aussi des victimes innocentes, si nécessaire. L’Ancien Testament est rempli de condamnations prononcées par Dieu à l’endroit d’Israël pour avoir pratiqué les coutumes des nations qui les entouraient. Nous rassemblons des faits importants qui révèlent des images plutôt atroces.
Jules César est une des sources d’information les mieux connues s'agissant des druides. Ce qui suit est tiré de l’Encyclopédie Britannique. Cette citation, sous la rubrique « Druides », explique clairement qui ils étaient : « Druides, la classe instruite des anciens Celtes, dont le nom signifie Connaître (ou Trouver le chêne). On dit qu’ils fréquentaient les forêts de chênes et agissaient en tant que prêtres, enseignants et juges. Les archives les plus anciennes au sujet des druides proviennent du troisième siècle av. J.-C […] Les druides étaient en charge des sacrifices publics et privés et plusieurs jeunes hommes allaient vers eux pour être instruits. Ils jugeaient toutes les querelles privées et publiques et prononçaient les sentences […] La principale doctrine des Druides était l’immortalité de l’âme […] Ils offraient des victimes humaines pour ceux qui étaient gravement malades ou en danger de mort dans les batailles. D’énormes paniers d’osier étaient remplis d’hommes vivants pour être ensuite brûlés.
Bien que les druides choisissaient préférablement des criminels, ils sacrifiaient aussi des victimes innocentes, si nécessaire. L’Ancien Testament est rempli de condamnations prononcées par Dieu à l’endroit d’Israël pour avoir pratiqué les coutumes des nations qui les entouraient. Nous rassemblons des faits importants qui révèlent des images plutôt atroces.
Le rôle du cannibalisme
**Une autre vérité à propos de l’origine de Noël a rapport au mot moderne cannibale. Cette pratique a ses racines dans l’une des fonctions principales de tous les prêtres de Baal (Nimrod). Le mot hébreu pour « prêtre » est Cahn. Voyez maintenant la citation suivante tirée de l’ouvrage « Les Deux Babylones » d’Alexander Hislop, page 232. « C’était un des principes de la loi mosaïque, un principe qui découlait sans aucun doute de la foi des patriarches, que le prêtre devait partager tout ce qui était offert en tant que sacrifice d’expiation Nombres 18 :9-10. Donc, les prêtres de Nimrod (Baal) avaient aussi l’obligation de manger les victimes des sacrifices humains, et c’est ainsi qu’est né le mot « Cahna-Bal », prêtre de Baal, dans notre propre langue pour désigner ceux qui mangent de la chair humaine. »
Personne ne peut ignorer cette réalité. Il est également vrai que la plupart des civilisations possèdent une tradition qui inclut le cannibalisme.
Voyez cette affirmation du New York Times. « Quelle est la signification du cannibalisme ? » par Erik Eckholm. Le cannibalisme a, par le passé, à la fois fasciné et repoussé virtuellement chaque société connue, incluant celles qui sont réputées l’avoir pratiqué. » Le même article poursuivait en démontrant que la plupart des civilisations attribuaient une signification divine à une telle pratique.
Le mythe du Père Noël
**Avez-vous déjà pensé que vous pourriez être en train de faire passer vos enfants par le feu, les sacrifier, (d’une manière différente toutefois) en observant la fête de Noël, tout en essayant sincèrement de mettre « l’accent sur le Christ » ?
Les parents soutiennent qu’ils doivent observer tout le mythe de Noël à cause de leurs enfants ! Les traditions de Noël se concentrent principalement sur les enfants qui deviennent le centre de pratiquement tout ce qui se déroule.
Si un adulte inculque à des enfants que le Père Noël est un mensonge, l’indignation des parents et des alliés est instantanée comme si cette personne venait de « tuer le Père Noël », « détruit la tradition familiale » et « usurper l’autorité familiale» et ce simplement pour avoir dit la vérité !
Selon « l’Encyclopedia of World History » de Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun de Nimrod en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains.
Aujourd’hui le nom de Santa Claus (Père Noël) vient de « Saint Nicolas ». En 1809, Washington Irving fut responsable d’avoir transformé le sévère et vieil évêque original en un nouveau et « joyeux St-Nick » dans son Knickerbocker History of New York. (La plupart des traditions de Noël de l’Amérique sont encore plus récentes que cela). L’expression anglaise « Old Nick », que l’on retrouve d’ailleurs dans le dictionnaire, est depuis longtemps reconnue comme un surnom du diable.
Dans Apocalypse 2:6 et 15, la Bible traite du sujet de la « doctrine des Nicolaïtes » à propos de laquelle le Christ dit qu’il la hait. Analysons le terme Nicolaïtes. Cela signifie « disciple de Nicolas » Nikos signifie « conquérant, destructeur ». Laos signifie « peuple ». Les Nicolaïtes sont donc ceux qui suivent le conquérant ou destructeur — Nimrod. Si jamais vous aviez cru qu’observer Noël était une coutume chrétienne sans conséquence, alors permettez à ces vérités de s’imprégner dans votre esprit.
Les parents soutiennent qu’ils doivent observer tout le mythe de Noël à cause de leurs enfants ! Les traditions de Noël se concentrent principalement sur les enfants qui deviennent le centre de pratiquement tout ce qui se déroule.
Si un adulte inculque à des enfants que le Père Noël est un mensonge, l’indignation des parents et des alliés est instantanée comme si cette personne venait de « tuer le Père Noël », « détruit la tradition familiale » et « usurper l’autorité familiale» et ce simplement pour avoir dit la vérité !
Selon « l’Encyclopedia of World History » de Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun de Nimrod en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains.
Aujourd’hui le nom de Santa Claus (Père Noël) vient de « Saint Nicolas ». En 1809, Washington Irving fut responsable d’avoir transformé le sévère et vieil évêque original en un nouveau et « joyeux St-Nick » dans son Knickerbocker History of New York. (La plupart des traditions de Noël de l’Amérique sont encore plus récentes que cela). L’expression anglaise « Old Nick », que l’on retrouve d’ailleurs dans le dictionnaire, est depuis longtemps reconnue comme un surnom du diable.
Dans Apocalypse 2:6 et 15, la Bible traite du sujet de la « doctrine des Nicolaïtes » à propos de laquelle le Christ dit qu’il la hait. Analysons le terme Nicolaïtes. Cela signifie « disciple de Nicolas » Nikos signifie « conquérant, destructeur ». Laos signifie « peuple ». Les Nicolaïtes sont donc ceux qui suivent le conquérant ou destructeur — Nimrod. Si jamais vous aviez cru qu’observer Noël était une coutume chrétienne sans conséquence, alors permettez à ces vérités de s’imprégner dans votre esprit.
Les Écritures permettent-elles les échanges de cadeaux?
**Les marchands disent régulièrement que 60% de leur chiffre d’affaires se réalisent pendant la saison de Noël. Cela représente l’achat d’un nombre extraordinaire de cadeaux. Plusieurs croient que la coutume de donner des cadeaux provient de l’exemple des rois mages faisant des dons au Christ. Est-ce bien vrai ? D’où vient cette coutume, et qu’en dit la Bible ?
Premièrement, y avait t-il "trois rois mages"? NON! UN AUTRE MENSONGE CAR À AUCUN MOMENT LA BIBLE NE PRÉCISE COMBIEN ILS ÉTAIENT.
La Bibliotheca Sacra, Volume 12, pages 153-155, dit : « L’échange de présents entre amis est une caractéristique de Noël et des saturnales et a dû être adopté des païens par les chrétiens comme le montre clairement l’avertissement de Tertullien. » Comme tout autre aspect de Noël, la vérité brutale est que même cette soi-disant coutume chrétienne ne vient pas de la Bible.
**Ironiquement, les gens aiment croire qu’ils suivent l’exemple des rois mages faisant des présents au Christ alors qu’en fait, ils se donnent des cadeaux presqu’exclusivement l’un à l’autre ! Quelle hypocrisie ! Le Christ est complètement oublié.
En fait la Bible enseigne que les chrétiens ne doivent pas observer les anniversaires de naissance. Plusieurs passages illustrent clairement ce principe . La vérité est que la plupart des gens font des cadeaux aux autres à Noël simplement parce qu’ils s’attendent à en recevoir eux-mêmes!
Retournons brièvement aux « rois mages » qui ont fait des présents au Christ. Les versets qui décrivent cela se retrouvent dans Matthieu 2:1-11 Jésus étant né à Bethléem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d’Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent : Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? […] Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent ; ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. »
On croit d’une façon générale que ces présents étaient des cadeaux d’anniversaire pour « l’enfant Jésus ». Mais est-ce bien ce que dit la Bible ? Absolument pas !
En premier lieu, on doit noter qu’ils ont donné les présents à Jésus. Ils ne se tenaient pas devant lui en s’échangeant des cadeaux ou en en donnant à d’autres. Les présents lui furent donnés. De plus, ils arrivèrent bien après son « anniversaire de naissance ». Ceci est une raison supplémentaire pour laquelle ce ne pouvait être des « cadeaux d’anniversaire. »
Une des plus anciennes coutumes de l’Orient est d’offrir des cadeaux lorsque quelqu’un se retrouve en présence d’un roi. Ces personnes savaient qu’elles étaient en présence du « Roi des Juifs ». La Bible cite plusieurs exemples de personnes envoyant des cadeaux aux rois ou leur remettant en arrivant en leur présence. C’est une coutume courante de nos jours lorsqu’un ambassadeur ou d’autres personnes se retrouvent en présence d’un dirigeant du monde.
En dernier lieu, notez ce que dit le « Commentaire d'Adam Clarke » Volume 5, p. 46, à propos de ce qui s’est réellement passé à cette occasion; verset 11. Ils Lui offrirent (des présents). Les gens de l’Orient n’approchent jamais des rois ou des personnages de renom sans avoir un présent entre leurs mains. On peut souvent remarquer cette coutume dans l’Ancien Testament et elle a toujours cours en orient de nos jours ainsi que dans certaines îles nouvellement découvertes des mers du sud. » Des présents étaient couramment offerts aux rois. Quoi de plus simple ?
L’origine de l’arbre de Noël
**Aucune brochure au sujet de Noël ne serait complète sans une explication à propos de « l’arbre de Noël ». Jusqu’à maintenant nous n’avons qu’effleurer le sujet. L’arbre de Noël moderne prend son origine en Allemagne. Les Allemands cependant l’ont reçu des Romains qui, eux, l’ont eu des Babyloniens et des Égyptiens. Ce qui suit démontre ce que les Babyloniens croyaient à propos de l’Origine de l’arbre de Noël : « Une vieille fable babylonienne parle d’un arbre « toujours vert » qui était sorti de la souche d’un arbre mort. La souche était le symbole de Nimrod, mort, le nouvel arbre symbolisait Nimrod revenu à la vie en la personne de Thammuz ! Chez les druides, le chêne était sacré, chez les Égyptiens c’était le palmier, et chez les Romains c’était le sapin que l’on décorait avec des fruits rouges pendant les saturnales ! Walsh, Curiosities of Popular Customs, p. 242
Le livre de Frederick J. Haskins intitulé « Answers to Questions » dit : « L’arbre de Noël provient d’Égypte et son origine date d’une période bien antérieure à l’ère de Noël. »
Saviez-vous que l’arbre de Noël a précédé de longtemps le christianisme ?
La majorité des coutumes de Noël ne sont pas mentionnées dans la Bible. La raison principale étant, bien entendu, qu’elles ne viennent pas de Dieu. Elles ne font pas partie de la façon dont Il veut être adoré. L’arbre de Noël en revanche est directement adressé dans la Bible. Lisez Jérémie 10:2-5 Ainsi parle l’Éternel : N’imitez pas la voie des nation. [...] Car les COUTUMES des peuples ne sont que VANITÉ. On coupe le bois dans la forêt ; la main de l’ouvrier le travaille avec la hache ; on l’embellit avec de l’argent et de l’or, on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu’il ne branle pas. Ces dieux sont comme une colonne massive, et ils ne parlent point; on les porte, parce qu’ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas, car ils ne sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien.
C’est une description de l’arbre de Noël moderne. Dieu y réfère en disant « la voie des nations ». D’une manière aussi directe, il commande à son peuple de ne pas « imiter la voie des nations ». Il dit que ces coutumes ne sont que « vanité ». Le verset 23 affirme d’une façon remarquable et puissante : Je le sais, Ô Éternel ! La voie de l’homme n’est pas en son pouvoir ; Ce n’est pas à l’homme, quand il marche, à diriger ses pas. Dieu doit enseigner aux hommes la façon de vivre. Ils ne sont pas capables de comprendre par eux-mêmes ce qu’il convient de faire.
Le livre de Frederick J. Haskins intitulé « Answers to Questions » dit : « L’arbre de Noël provient d’Égypte et son origine date d’une période bien antérieure à l’ère de Noël. »
Saviez-vous que l’arbre de Noël a précédé de longtemps le christianisme ?
La majorité des coutumes de Noël ne sont pas mentionnées dans la Bible. La raison principale étant, bien entendu, qu’elles ne viennent pas de Dieu. Elles ne font pas partie de la façon dont Il veut être adoré. L’arbre de Noël en revanche est directement adressé dans la Bible. Lisez Jérémie 10:2-5 Ainsi parle l’Éternel : N’imitez pas la voie des nation. [...] Car les COUTUMES des peuples ne sont que VANITÉ. On coupe le bois dans la forêt ; la main de l’ouvrier le travaille avec la hache ; on l’embellit avec de l’argent et de l’or, on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu’il ne branle pas. Ces dieux sont comme une colonne massive, et ils ne parlent point; on les porte, parce qu’ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas, car ils ne sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien.
C’est une description de l’arbre de Noël moderne. Dieu y réfère en disant « la voie des nations ». D’une manière aussi directe, il commande à son peuple de ne pas « imiter la voie des nations ». Il dit que ces coutumes ne sont que « vanité ». Le verset 23 affirme d’une façon remarquable et puissante : Je le sais, Ô Éternel ! La voie de l’homme n’est pas en son pouvoir ; Ce n’est pas à l’homme, quand il marche, à diriger ses pas. Dieu doit enseigner aux hommes la façon de vivre. Ils ne sont pas capables de comprendre par eux-mêmes ce qu’il convient de faire.
L’origine des couronnes, de la bûche et du gui
L’Encyclopedia Americana dit : « Le houx, le gui, la bûche de Noël […] sont des vestiges de l’ère préchrétienne. » Autrement dit, du paganisme. La bûche (de Noël) faisait partie d’un rite Teuton d’adoration de la nature.
Le livre de Frederick J. Haskins ajoute : « Les autorités croient que l’utilisation des couronnes de Noël tire leur origine des coutumes païennes de décoration d’édifices et des endroits de culte pendant la fête qui se tenait pendant la même période que Noël. »
L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Celastrales », révèle l’origine des couronnes : « Les païens d’Europe apportaient dans leurs demeures des gerbes, offrant ainsi aux êtres féériques des bois un refuge pendant la dure période hivernale. Pendant les saturnales, la fête hivernale romaine, des branches de houx étaient échangées en gage d’amitié. Les premiers chrétiens romains auraient apparemment utilisé le houx en tant que décoration pendant la période de Noël. »
**Il existe des douzaines de types de houx. Presque tous se présentent sous une variété mâle ou femelle comme la « Blue Prince et Blue Princess », ou la « Blue Boy et la Blue Girl » ou la « China Boy et China Girl ». Les plantes de houx femelles ne peuvent porter de fruits à moins qu’un plant mâle à proximité les ait pollinisées. Il est aisé de voir pourquoi la couronne de houx a été adoptée dans les rituels païens en tant que signe d’amitié et de FERTILITÉ !
Noël ne serait pas complet pour certains à moins d’échanger « un baiser sous le gui ». Cette coutume païenne allait de soi lors d’une nuit de festivités tenue dans un esprit d’ivrognerie. Tout comme aujourd’hui, les « baisers » étaient échangés au tout début des célébrations des saturnales, ou, de nos jours, de Noël. Le gui était supposé avoir des pouvoirs de guérison spéciaux pour ceux qui « s’amusaient » en dessous.
L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Santalales » dit : Le gui européen est supposé avoir eu une signification rituelle spéciale lors des cérémonies druidiques et possède toujours, dans le folklore d’aujourd’hui, un statut particulier, en tant que gui de Noël, qui nous vient du temps des Anglo-Saxons ». Le gui est un parasite qui vit sur le chêne. (Rappelez-vous que les druides adoraient les bocages de chênes). Les anciens Celtes (associés aux druides) avaient pour habitude de donner du gui en tant que remède aux animaux stériles afin de les rendre fertiles. Sa signification en langue celte est toujours : « la plante qui guérit tout ».
Tout comme le gui, les fruits de houx étaient considérés sacrés pour le dieu soleil. La « bûche du soleil » originelle (sun log) en est venue à être appelée la bûche de Noël (yule log) simplement parce que le mot « Yule » (bûche) signifie « roue », symbole païen qui depuis longtemps représente le soleil. Quelle que soit la culture, l’origine de la fête est la même. Seuls certains symboles diffèrent selon les cultures. Voici ce que dit l’Encyclopedia Universalis au sujet de Noël : « Fête solennelle de la naissance de Jésus-Christ, Noël est célébré le 25 décembre dans toutes les Églises chrétiennes depuis le IVème siècle. À cette époque, cette date était alors celle de la fête païenne du solstice d’hiver appelé « Naissance (en latin, Natale) du soleil », car celui-ci semble reprendre vie lorsque les jours s’allongent […]» NB : (« Natale » est la racine du mot Noël).
Le livre de Frederick J. Haskins ajoute : « Les autorités croient que l’utilisation des couronnes de Noël tire leur origine des coutumes païennes de décoration d’édifices et des endroits de culte pendant la fête qui se tenait pendant la même période que Noël. »
L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Celastrales », révèle l’origine des couronnes : « Les païens d’Europe apportaient dans leurs demeures des gerbes, offrant ainsi aux êtres féériques des bois un refuge pendant la dure période hivernale. Pendant les saturnales, la fête hivernale romaine, des branches de houx étaient échangées en gage d’amitié. Les premiers chrétiens romains auraient apparemment utilisé le houx en tant que décoration pendant la période de Noël. »
**Il existe des douzaines de types de houx. Presque tous se présentent sous une variété mâle ou femelle comme la « Blue Prince et Blue Princess », ou la « Blue Boy et la Blue Girl » ou la « China Boy et China Girl ». Les plantes de houx femelles ne peuvent porter de fruits à moins qu’un plant mâle à proximité les ait pollinisées. Il est aisé de voir pourquoi la couronne de houx a été adoptée dans les rituels païens en tant que signe d’amitié et de FERTILITÉ !
Noël ne serait pas complet pour certains à moins d’échanger « un baiser sous le gui ». Cette coutume païenne allait de soi lors d’une nuit de festivités tenue dans un esprit d’ivrognerie. Tout comme aujourd’hui, les « baisers » étaient échangés au tout début des célébrations des saturnales, ou, de nos jours, de Noël. Le gui était supposé avoir des pouvoirs de guérison spéciaux pour ceux qui « s’amusaient » en dessous.
L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Santalales » dit : Le gui européen est supposé avoir eu une signification rituelle spéciale lors des cérémonies druidiques et possède toujours, dans le folklore d’aujourd’hui, un statut particulier, en tant que gui de Noël, qui nous vient du temps des Anglo-Saxons ». Le gui est un parasite qui vit sur le chêne. (Rappelez-vous que les druides adoraient les bocages de chênes). Les anciens Celtes (associés aux druides) avaient pour habitude de donner du gui en tant que remède aux animaux stériles afin de les rendre fertiles. Sa signification en langue celte est toujours : « la plante qui guérit tout ».
Tout comme le gui, les fruits de houx étaient considérés sacrés pour le dieu soleil. La « bûche du soleil » originelle (sun log) en est venue à être appelée la bûche de Noël (yule log) simplement parce que le mot « Yule » (bûche) signifie « roue », symbole païen qui depuis longtemps représente le soleil. Quelle que soit la culture, l’origine de la fête est la même. Seuls certains symboles diffèrent selon les cultures. Voici ce que dit l’Encyclopedia Universalis au sujet de Noël : « Fête solennelle de la naissance de Jésus-Christ, Noël est célébré le 25 décembre dans toutes les Églises chrétiennes depuis le IVème siècle. À cette époque, cette date était alors celle de la fête païenne du solstice d’hiver appelé « Naissance (en latin, Natale) du soleil », car celui-ci semble reprendre vie lorsque les jours s’allongent […]» NB : (« Natale » est la racine du mot Noël).
L'amalgame : Adoration du vrai Dieu et fausses pratiques
**Le mélange de fausses pratiques païennes et l’adoration de faux dieux était une pratique interdite. Quiconque faisait une telle chose sous l'ancien Testament était mis à mort Lévitique 18:21-29 C’était très sérieux, c'est et ce sera très sérieux!
Les Israélites sont aujourd'hui, plus que jamais, appelés à changer de comportement! La grâce (période ou temps accordé pour revoir ses actions, changer de comportement) accordée par Christ notre Sauveur est temporaire!
2 Rois 17:33 nous donne un aperçu de la façon dont la nation d’Israël pensait et croyait, dans son esprit, adorer Dieu. Ainsi ils craignaient l’Éternel, et ils servaient leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés.
Avez-vous bien saisi ceci ? Oui, ils craignaient soit disant Dieu pendant qu’ils servaient d’autres dieux. Pas étonnant que le verset qui suit immédiatement 2 Rois 17:34 dise qu’en réalité, [...] Ils ne craignent POINT l’Éternel selon la voie qu’il a prescrite. C'est donc ainsi que Dieu voit les Israélites se comporter aujourd’hui. Malgré tout ce qu’ils peuvent penser de leurs actions en copiant d’anciennes pratiques païennes, ils déshonorent leur Dieu et le payent ou le paieront au prix fort.
Le verset 30 dit que tout cela avait été appris au contact des « gens de Babylone » (entre autres) dont le dieu principal, nous nous en souviendrons, était Nimrod, — Baal ou Moloch (même entité). Constatez jusqu’à quel point l’avertissement de Dieu est spécifique et la raison pour laquelle Il les avertissait!
Deutéronome 12:29-31 Lorsque l’Éternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi […] et que tu te seras établi dans leur pays, garde toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu’elles auront été détruites devant toi. Garde toi de t’informer de leurs dieux et de dire: Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Moi aussi, je veux faire de même. Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Éternel, ton Dieu ; car elles servaient leurs dieux en faisant TOUTES LES ABOMINATIONS qui sont odieuses à l’Éternel, et même elles brûlaient au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. LE MESSAGE EST CLAIR!
Plusieurs autres versets, au contenu, semblable à Deutéronome 12 devraient être étudiés. Vous pouvez consulter Exode 34:10-17 ; 23:23-33 ; Lévitique 20:22-26 ; Deutéronome 20:13-18 etc.. Le véritable Dieu savait pertinemment que servir d’autres dieux mènerait toujours aux sacrifices de leurs enfants!
Deutéronome 12:32 stipule clairement que Dieu ne veut pas que nous mélangions ses voies avec des voies tortueuses. Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne; vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. Une fois de plus, LE MESSAGE EST CLAIR. Voilà les PAROLES que Dieu adresse à tous ceux qui disent qu’ils peuvent mélanger les coutumes païennes abominables tout en proclamant le Christ de Nazareth.
Les Israélites sont aujourd'hui, plus que jamais, appelés à changer de comportement! La grâce (période ou temps accordé pour revoir ses actions, changer de comportement) accordée par Christ notre Sauveur est temporaire!
2 Rois 17:33 nous donne un aperçu de la façon dont la nation d’Israël pensait et croyait, dans son esprit, adorer Dieu. Ainsi ils craignaient l’Éternel, et ils servaient leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés.
Avez-vous bien saisi ceci ? Oui, ils craignaient soit disant Dieu pendant qu’ils servaient d’autres dieux. Pas étonnant que le verset qui suit immédiatement 2 Rois 17:34 dise qu’en réalité, [...] Ils ne craignent POINT l’Éternel selon la voie qu’il a prescrite. C'est donc ainsi que Dieu voit les Israélites se comporter aujourd’hui. Malgré tout ce qu’ils peuvent penser de leurs actions en copiant d’anciennes pratiques païennes, ils déshonorent leur Dieu et le payent ou le paieront au prix fort.
Le verset 30 dit que tout cela avait été appris au contact des « gens de Babylone » (entre autres) dont le dieu principal, nous nous en souviendrons, était Nimrod, — Baal ou Moloch (même entité). Constatez jusqu’à quel point l’avertissement de Dieu est spécifique et la raison pour laquelle Il les avertissait!
Deutéronome 12:29-31 Lorsque l’Éternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi […] et que tu te seras établi dans leur pays, garde toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu’elles auront été détruites devant toi. Garde toi de t’informer de leurs dieux et de dire: Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Moi aussi, je veux faire de même. Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Éternel, ton Dieu ; car elles servaient leurs dieux en faisant TOUTES LES ABOMINATIONS qui sont odieuses à l’Éternel, et même elles brûlaient au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. LE MESSAGE EST CLAIR!
Plusieurs autres versets, au contenu, semblable à Deutéronome 12 devraient être étudiés. Vous pouvez consulter Exode 34:10-17 ; 23:23-33 ; Lévitique 20:22-26 ; Deutéronome 20:13-18 etc.. Le véritable Dieu savait pertinemment que servir d’autres dieux mènerait toujours aux sacrifices de leurs enfants!
Deutéronome 12:32 stipule clairement que Dieu ne veut pas que nous mélangions ses voies avec des voies tortueuses. Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne; vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. Une fois de plus, LE MESSAGE EST CLAIR. Voilà les PAROLES que Dieu adresse à tous ceux qui disent qu’ils peuvent mélanger les coutumes païennes abominables tout en proclamant le Christ de Nazareth.
Les pratiques païennes d'Israël dans les coutumes modernes
Deutéronome 12:2-4 précise un contexte important. Dieu y dit clairement : Vous détruirez tous les lieux où les nations que vous allez chasser servent leurs dieux, sur les hautes montagnes, sur les collines, et sous tout arbre vert. 3Vous renverserez leurs autels, vous briserez leurs statues, vous brûlerez au feu leurs idoles, vous abattrez les images taillées de leurs dieux, et vous ferez disparaître leurs noms de ces lieux-là. 4Vous n'agirez pas ainsi à l'égard de l'Éternel, votre Dieu.
**Veuillez prendre note des références aux « arbres verts » et aux « montagnes et collines ». Il y a au moins dix versets semblables dans les livres de la loi mentionnant les arbres verts en association avec l’idolâtrie. Les historiens croient que le terme « vert » se réfère à ce qui demeure vert toute l’année, autrement dit, les arbres à feuilles persistantes.
Comment ses pratiques païennes de l'époque s'inscrivent-elles donc dans les temps modernes? Pour y répondre, examinons à nouveau de près l’histoire et l’origine de quelques coutumes des saturnales encore pratiquées aujourd’hui.
Voici une citation surprenante en provenance du Dictionary of Greek and Roman Antiquities, « Oscilla », 3ème édition, Volume 2. « […] Tous s’appliquaient à fêter et à être joyeux, des présents étaient échangés entre amis, les foules remplissaient les rues en criant : « Voilà les saturnales ». Selon le poète païen Virgil, une offrande était présentée sous un arbre vert décoré. Des figurines et des masques, appelés oscilla, étaient suspendues dans l’arbre, tout comme dans les arbres de Noël d’aujourd’hui. L’histoire admet [...] qu’il n’y a aucun doute que ces oscilla représentassent les vestiges de sacrifices humains […] »
Ces choses vous semblent-elles familières ?
Nous avons donc, des cadeaux, des chants dans les rues, des arbres verts, des décorations (petits sujets à suspendre et autres accessoires) des offrandes au pied de l’arbre, des réjouissances, l'occasion de festoyer. À ce stade nous n'en sommes plus à sublimer la célébration de Noël, vous l'aurez bien compris.
Aujourd'hui, les oscilla ressemblent à de petits « anges ou figurines » joufflus suspendus dans l’arbre. Cela vous dit quelque chose? Pensez-vous que quiconque parmi vos connaissances se rende compte de ce qu’ils représentent ? Bien sûr que non — mais cela n’enlève en rien le sérieux de la chose ni la symbolique abominable qu'elles représentent aux yeux de Dieu.
Une autre source permet de démontrer comment tout ceci en est venu à faire partie des coutumes observées « innocemment » par des millions de personnes mais loin d’être « innocents » aux yeux de Dieu. Le paganisme est de plus en plus flagrant dans les rencontres entre chrétiens.
Ci-après, la citation de l’Encyclopédie Britannique, 15è édition, Volume 10, pages 1062-63 : « La chrétienté [… ] par un processus complexe et graduel […] devint la religion officielle de l’empire (romain). Pendant un certain temps, les pièces de monnaies ainsi que d’autres monuments continuèrent de lier les doctrines chrétiennes avec l’adoration du soleil, pratique à laquelle Constantin s’était adonné auparavant. Mais même après cette période, le paganisme romain continua d’exercer d’autres influences permanentes, petites et grandes. Le calendrier ecclésiastique a conservé un grand nombre de souvenirs des festivals préchrétiens, notamment Noël qui inclut un mélange d’éléments des saturnales et de l’anniversaire de Mithra (dieu des mystères iranien, le soleil de justice). Mais plus encore, la branche dominante de la chrétienté occidentale doit à la Rome ancienne sa discipline qui a été le garant de sa forme et de sa stabilité. »
Il convient de noter qu'une autorité aussi réputée que l’Encyclopédie Britannique admet, pour tous ceux qui voudront bien le lire, que ce sont les saturnales et la Rome ancienne qui ont défini la « discipline, la stabilité et la forme » de la chrétienté occidentale. Ceci est une admission pour le moins renversante !
Voici une autre citation très forte, sous la rubrique « Christmas » du New Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge, qui révèle la façon dont ce festival idolâtre et païen s’est infiltré dans le monde « chrétien ». « À savoir jusqu’à quel point la date du festival dépendait de la fête de Brumalia (25 décembre), qui suivait immédiatement les saturnales (17 au 24 décembre) et qui célébrait le jour le plus court de l’année et fêtait le « soleil nouveau »[…] ne peut être déterminé avec précision. Les saturnales et la fête de Brumalia étaient trop profondément implantées dans les coutumes populaires pour être mis de côté par l’influence chrétienne […] Le festival païen avec ses réjouissances et ses émeutes était si populaire que les chrétiens du temps furent heureux d’avoir une excuse leur permettant de continuer sa célébration avec peu de changement dans l’esprit de la fête comme dans la façon de la célébrer. Les prédicateurs chrétiens de l’Ouest et du Proche-Orient ont protesté contre cette frivolité déplacée avec laquelle l’anniversaire de la naissance du Christ était célébrée, alors que les chrétiens de Mésopotamie accusèrent leurs frères de l’ouest d’idolâtrie et d’adoration du soleil parce qu’ils avaient accepté comme chrétien ce festival païen. »
Une source additionnelle révèle comment l’église romaine a absorbé Noël en tant que célébration officielle.
L’Encyclopédie Britannique, édition 1946, dit : « Noël ne faisait pas partie des premiers festivals de l’église […] Certains Latins, aussi tôt qu’en 354, ont peut-être transféré l’anniversaire du 6 janvier au 25 décembre qui était alors une fête mithriaque […] ou l’anniversaire du SOLEIL invincible […] Les Syriens et les Arméniens, qui retinrent le 6 janvier, accusent les Romains d’adoration du soleil et d’idolâtrie, soutenant […] que la fête du 25 décembre avait été inventée par les disciples de Cérinthus […] »
C’est de cette façon qu’un festival païen, célébré longtemps avant la naissance du Christ, fit son chemin jusque dans la chrétienté reconnue.
Saviez-vous qu’au dix-septième siècle, même les Puritains de la Nouvelle-Angleterre savaient à quel point Noël était mauvais ? Ils en ont défendu l’observance par une loi, en 1659, dans toute la colonie de la Baie de Massachussetts. Ceux qui l’observaient étaient passibles d’amendes et de prison. Cela prit 200 ans (1856) avant que les gens cessent de travailler le jour de Noël à Boston. Les Puritains en connaissaient l’origine et la considéraient comme « païenne et comme une fête papiste idolâtre. »
**Veuillez prendre note des références aux « arbres verts » et aux « montagnes et collines ». Il y a au moins dix versets semblables dans les livres de la loi mentionnant les arbres verts en association avec l’idolâtrie. Les historiens croient que le terme « vert » se réfère à ce qui demeure vert toute l’année, autrement dit, les arbres à feuilles persistantes.
Comment ses pratiques païennes de l'époque s'inscrivent-elles donc dans les temps modernes? Pour y répondre, examinons à nouveau de près l’histoire et l’origine de quelques coutumes des saturnales encore pratiquées aujourd’hui.
Voici une citation surprenante en provenance du Dictionary of Greek and Roman Antiquities, « Oscilla », 3ème édition, Volume 2. « […] Tous s’appliquaient à fêter et à être joyeux, des présents étaient échangés entre amis, les foules remplissaient les rues en criant : « Voilà les saturnales ». Selon le poète païen Virgil, une offrande était présentée sous un arbre vert décoré. Des figurines et des masques, appelés oscilla, étaient suspendues dans l’arbre, tout comme dans les arbres de Noël d’aujourd’hui. L’histoire admet [...] qu’il n’y a aucun doute que ces oscilla représentassent les vestiges de sacrifices humains […] »
Ces choses vous semblent-elles familières ?
Nous avons donc, des cadeaux, des chants dans les rues, des arbres verts, des décorations (petits sujets à suspendre et autres accessoires) des offrandes au pied de l’arbre, des réjouissances, l'occasion de festoyer. À ce stade nous n'en sommes plus à sublimer la célébration de Noël, vous l'aurez bien compris.
Aujourd'hui, les oscilla ressemblent à de petits « anges ou figurines » joufflus suspendus dans l’arbre. Cela vous dit quelque chose? Pensez-vous que quiconque parmi vos connaissances se rende compte de ce qu’ils représentent ? Bien sûr que non — mais cela n’enlève en rien le sérieux de la chose ni la symbolique abominable qu'elles représentent aux yeux de Dieu.
Une autre source permet de démontrer comment tout ceci en est venu à faire partie des coutumes observées « innocemment » par des millions de personnes mais loin d’être « innocents » aux yeux de Dieu. Le paganisme est de plus en plus flagrant dans les rencontres entre chrétiens.
Ci-après, la citation de l’Encyclopédie Britannique, 15è édition, Volume 10, pages 1062-63 : « La chrétienté [… ] par un processus complexe et graduel […] devint la religion officielle de l’empire (romain). Pendant un certain temps, les pièces de monnaies ainsi que d’autres monuments continuèrent de lier les doctrines chrétiennes avec l’adoration du soleil, pratique à laquelle Constantin s’était adonné auparavant. Mais même après cette période, le paganisme romain continua d’exercer d’autres influences permanentes, petites et grandes. Le calendrier ecclésiastique a conservé un grand nombre de souvenirs des festivals préchrétiens, notamment Noël qui inclut un mélange d’éléments des saturnales et de l’anniversaire de Mithra (dieu des mystères iranien, le soleil de justice). Mais plus encore, la branche dominante de la chrétienté occidentale doit à la Rome ancienne sa discipline qui a été le garant de sa forme et de sa stabilité. »
Il convient de noter qu'une autorité aussi réputée que l’Encyclopédie Britannique admet, pour tous ceux qui voudront bien le lire, que ce sont les saturnales et la Rome ancienne qui ont défini la « discipline, la stabilité et la forme » de la chrétienté occidentale. Ceci est une admission pour le moins renversante !
Voici une autre citation très forte, sous la rubrique « Christmas » du New Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge, qui révèle la façon dont ce festival idolâtre et païen s’est infiltré dans le monde « chrétien ». « À savoir jusqu’à quel point la date du festival dépendait de la fête de Brumalia (25 décembre), qui suivait immédiatement les saturnales (17 au 24 décembre) et qui célébrait le jour le plus court de l’année et fêtait le « soleil nouveau »[…] ne peut être déterminé avec précision. Les saturnales et la fête de Brumalia étaient trop profondément implantées dans les coutumes populaires pour être mis de côté par l’influence chrétienne […] Le festival païen avec ses réjouissances et ses émeutes était si populaire que les chrétiens du temps furent heureux d’avoir une excuse leur permettant de continuer sa célébration avec peu de changement dans l’esprit de la fête comme dans la façon de la célébrer. Les prédicateurs chrétiens de l’Ouest et du Proche-Orient ont protesté contre cette frivolité déplacée avec laquelle l’anniversaire de la naissance du Christ était célébrée, alors que les chrétiens de Mésopotamie accusèrent leurs frères de l’ouest d’idolâtrie et d’adoration du soleil parce qu’ils avaient accepté comme chrétien ce festival païen. »
Une source additionnelle révèle comment l’église romaine a absorbé Noël en tant que célébration officielle.
L’Encyclopédie Britannique, édition 1946, dit : « Noël ne faisait pas partie des premiers festivals de l’église […] Certains Latins, aussi tôt qu’en 354, ont peut-être transféré l’anniversaire du 6 janvier au 25 décembre qui était alors une fête mithriaque […] ou l’anniversaire du SOLEIL invincible […] Les Syriens et les Arméniens, qui retinrent le 6 janvier, accusent les Romains d’adoration du soleil et d’idolâtrie, soutenant […] que la fête du 25 décembre avait été inventée par les disciples de Cérinthus […] »
C’est de cette façon qu’un festival païen, célébré longtemps avant la naissance du Christ, fit son chemin jusque dans la chrétienté reconnue.
Saviez-vous qu’au dix-septième siècle, même les Puritains de la Nouvelle-Angleterre savaient à quel point Noël était mauvais ? Ils en ont défendu l’observance par une loi, en 1659, dans toute la colonie de la Baie de Massachussetts. Ceux qui l’observaient étaient passibles d’amendes et de prison. Cela prit 200 ans (1856) avant que les gens cessent de travailler le jour de Noël à Boston. Les Puritains en connaissaient l’origine et la considéraient comme « païenne et comme une fête papiste idolâtre. »
La divination et les superstitions liées à Noël
Pour les astrologues, la nuit de Noël est extrêmement favorable à leurs pratiques divinatoires. Ils est prétendu que les rêves faits au cours de cette nuit se réaliseront certainement. Aussi, en Europe et plus particulièrement dans les pays de tradition germanique, c'est le jour privilégié pour consulter les oracles et interroger le sort.
La molybdomancie (divination par le plomb), était d'ailleurs grandement pratiquée autrefois par les jeunes filles, pour tout savoir sur l'élu de leur cœur ou pour connaître les initiales du futur amant. Il semblerait que des choses très étranges arrivent également pendant que sonne minuit. Toujours sous couverts de superstitions, les croyances assurent qu'à ce moment-là les animaux parlent le langage des hommes, les abeilles s'agitent dans leur ruche, les arbres fruitiers se couvrent de fleurs, qui disparaissent aussitôt au 12ème coup de minuit. Enfin, d'autres miracles s'opèrent à minuit. Il est dit que l'eau des sources se transformerait en vin. Il s'agit d'en boire afin de conserver, dit-on, une bonne santé tout au long de l'année.
Notez que certaines croyances païennes révèlent que la nuit de Noël serait également la nuit de tous les dangers. En effet, durant cette fameuse nuit du 24 décembre, les sorcières et démons, semble t-il, surgiraient du néant et viendraient hanter les humains. De même, quand sonnent les douze coups de minuit, les morts reviendraient dans leurs anciennes maisons pour profiter du repas de réveillon. Il fallait alors laisser les portes ouvertes pour leur permettre ensuite de s'en aller.
Dans la tradition chrétienne, le malheur est assuré à tous ceux qui n'assistent pas à la messe. Être au lit pendant ce temps engendrerait des cauchemars pour toute l'année à venir.
Pour renverser le sort et parer au malheur, il est donc conseillé d'assister aux trois messes de la Nativité (celle de minuit, celle de l'aurore et celle du 25 décembre). En procédant ainsi, le fidèle serait ainsi protégé des fantômes et de tout autre forme de danger, sur terre comme sur mer.
La molybdomancie (divination par le plomb), était d'ailleurs grandement pratiquée autrefois par les jeunes filles, pour tout savoir sur l'élu de leur cœur ou pour connaître les initiales du futur amant. Il semblerait que des choses très étranges arrivent également pendant que sonne minuit. Toujours sous couverts de superstitions, les croyances assurent qu'à ce moment-là les animaux parlent le langage des hommes, les abeilles s'agitent dans leur ruche, les arbres fruitiers se couvrent de fleurs, qui disparaissent aussitôt au 12ème coup de minuit. Enfin, d'autres miracles s'opèrent à minuit. Il est dit que l'eau des sources se transformerait en vin. Il s'agit d'en boire afin de conserver, dit-on, une bonne santé tout au long de l'année.
Notez que certaines croyances païennes révèlent que la nuit de Noël serait également la nuit de tous les dangers. En effet, durant cette fameuse nuit du 24 décembre, les sorcières et démons, semble t-il, surgiraient du néant et viendraient hanter les humains. De même, quand sonnent les douze coups de minuit, les morts reviendraient dans leurs anciennes maisons pour profiter du repas de réveillon. Il fallait alors laisser les portes ouvertes pour leur permettre ensuite de s'en aller.
Dans la tradition chrétienne, le malheur est assuré à tous ceux qui n'assistent pas à la messe. Être au lit pendant ce temps engendrerait des cauchemars pour toute l'année à venir.
Pour renverser le sort et parer au malheur, il est donc conseillé d'assister aux trois messes de la Nativité (celle de minuit, celle de l'aurore et celle du 25 décembre). En procédant ainsi, le fidèle serait ainsi protégé des fantômes et de tout autre forme de danger, sur terre comme sur mer.
Ceux qui changent les temps et la Loi
Le prophète Daniel 7:8 parle d’une « petite corne » à propos de laquelle le verset 25 du même chapitre dit : […] prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi.
**Cette petite corne est une grande autorité religieuse qui tente d’imposer sa propre conception des dates et des célébrations sur un monde sans méfiance en remplacement des instructions claires du Dieu Saint d'Israël. Le mot hébreu utilisé pour « changer » signifie « transformer, altérer ou fixer ». Le mot traduit par « temps » signifie « occasions désignées, époques, moments ». Le mot hébreu traduit par « loi » signifie « décrets ou loi de Dieu ». Cette phrase fait référence à une autorité qui tente de transformer des occasions désignées et des époques définies dans la loi de Dieu. Le MESSAGE EST CLAIR!
Noël est certainement un exemple important qui illustre comment une telle chose a été implémentée. Les instructions de Dieu ont été remplacées par des traditions d'hommes.
La citation suivante révèle comment cela s’est produit. Elle provient également de l’Encyclopédie Britannique sous la rubrique « Christianisme ». « Ainsi, la liturgie de Pâques a été développée davantage dans l’Église orthodoxe d’orient, et celle de Noël davantage dans l’Église catholique romaine […] Le calendrier chrétien est une des institutions chrétiennes les plus répandues. La semaine de sept jours et le rythme des festivals chrétiens ont été acceptés même par les pays les moins chrétiens. Malgré de nombreuses tentatives énergiques d’introduire des semaines de travail variables, la semaine de sept jours avec le dimanche de congé n’a pu être éliminée même dans les pays communistes ayant une vue athée du monde. Même dans les cercles et organisations athées du monde, les fêtes chrétiennes jouissent d’une popularité incontestée en tant que jours de congé, spécialement Noël. »
En vérité, ce sont les « politiciens ecclésiastiques » auxquels nous avons fait référence plus tôt qui ont cherché à imposer le calendrier « chrétien » moderne à un monde inconscient. Ce sont ces « leaders » qui ont « pensé changer les temps et la loi. »
Le dangereux pouvoir des mensonges
Un des noms de satan est Destructeur. (Apocalypse 9:11) Nimrod-Saturne-Moloch-Baal, tout comme satan, est un dieu du feu qui détruit et dévore nos petits enfants.
Le vrai Jésus-Christ n’a jamais pris part et ne prendra jamais part à Noël ! On ne peut le remettre là où Il n’a jamais été. Le « dieu de ce siècle », satan (2 Corinthiens 4:4) a toujours fait partie intégrante de Noël tout simplement parce qu' il en est l’auteur. Il est au cœur de cette célébration! C'est lui qui est révérencé durant cette période.
Le vrai Dieu nous commande de l’adorer « en esprit et en vérité » (Jean 4:23-24). Cela ne cadre pas avec le grand mensonge de Noël et du Père Noël en qui tous les enfants croient si volontiers grâce à leur parents.
1 Timothée 4:2 avertit ceux qui « enseignent hypocritement des faussetés », « portant la marque de la flétrissure (grec : cautériser) dans leur propre conscience. » Les parents peuvent « brûler » leurs propres enfants, leur laissant une profonde cicatrice, avec la supercherie et le mensonge de Noël!
On ne peut donner l’excuse du grand nombre de personnes qui observent Noël car satan, qui est appelé « père du mensonge » et « meurtrier dès le commencement » (Jean 8:44), « a séduit toute la Terre » (Apocalypse 12:9). Reconnaissez aussi le fait que Noël est, sans contredit, un témoignage de cette grande séduction. Le Christ, à l'inverse fait référence à son Église en tant que « petit troupeau » (Luc 12:32) Plusieurs autres versets illustrent aussi cela.
- Que dois-je faire ? -
**Finalement, examinons ce que Dieu dit à son peuple de faire et comment il devrait éduquer ses enfants. Rappelez-vous Jérémie 7:31 qui rapporte la condamnation d’Israël par Dieu pour avoir brûlé leurs enfants dans la vallée de Tophet. Huit versets plus tôt, Dieu avait clairement dit ce qu’Il exigeait : « Mais voici l’ordre que je leur ai donné : Écoutez ma voix, et je serai votre Dieu, et vous serez mon peuple ; marchez dans toutes les voies que je vous prescris, afin que vous soyez heureux. Et ils n’ont point écouté […] Ils ont suivi […] les penchants de leur mauvais cœur »
**Les êtres humains ne veulent pas obéir à Dieu. (Romains 8:7) Ils préfèrent suivre leurs propres « penchants.» Ils ne comprennent pas que Dieu veut que leur vie se déroule « bien ». Il souhaite que le bonheur, la joie et les bénédictions abondent dans leur vie. Toutes ces choses seraient le résultat direct d’une telle obéissance.
Dieu a inspiré Moïse afin qu’il prévienne les parents de la sérieuse responsabilité qu’ils doivent assumer dans la façon d’éduquer leurs enfants. Remarquez les instructions données dans Deutéronome 6:1, 6-7; 20-25 Voici les commandements […] que l’Éternel, votre Dieu, a commandé de vous enseigner, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession […] Et ces commandements, que je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur. 7Tu les inculqueras à tes enfants, et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras [… ] 20Lorsque ton fils te demandera un jour : Que signifient ces préceptes, ces lois et ces ordonnances, que l’Éternel, notre Dieu, vous a prescrits ? 21tu diras à ton fils : Nous étions esclaves de Pharaon en Egypte, 22L'Éternel a opéré, sous nos yeux, des miracles et des prodiges, grands et désastreux, contre l'Egypte, contre Pharaon et contre toute sa maison; 23et il nous a fait sortir de là, pour nous amener dans le pays qu'il avait juré à nos pères de nous donner. 24L'Éternel nous a commandé de mettre en pratique toutes ces lois, et de craindre l'Éternel, notre Dieu, afin que nous fussions toujours heureux, et qu'il nous conservât la vie, comme il le fait aujourd'hui. 25Nous aurons la justice en partage, si nous mettons soigneusement en pratique tous ces commandements devant l'Éternel, notre Dieu, comme il nous l'a ordonné.
**Dieu délivra Israël d’Égypte - de l’esclavage - des coutumes du monde qui les entouraient et Il leur a révélé sa loi. Il ne veut pas que son peuple retourne aux traditions, coutumes desquelles Il les a délivrés. Il en fera donc de même pour toi Israël toi qui est éparpillé au 4 coins de la terre!
Gardons en tête que toutes ces traditions, truffées de symbolisme, philosophies, d’adoration des anciens dieux païens, basées sur des traditions d'hommes, ne consistent pas en l’adoration du vrai Créateur.
Proverbes 22:6 Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre; Et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas.
**Il conviendrait ainsi aux parents d'enseigner aux enfants que Dieu leur a accordé ses lois, règles et commandements et non de les instruire selon les traditions d'hommes et le mensonge perpétuel.
**Les êtres humains ne veulent pas obéir à Dieu. (Romains 8:7) Ils préfèrent suivre leurs propres « penchants.» Ils ne comprennent pas que Dieu veut que leur vie se déroule « bien ». Il souhaite que le bonheur, la joie et les bénédictions abondent dans leur vie. Toutes ces choses seraient le résultat direct d’une telle obéissance.
Dieu a inspiré Moïse afin qu’il prévienne les parents de la sérieuse responsabilité qu’ils doivent assumer dans la façon d’éduquer leurs enfants. Remarquez les instructions données dans Deutéronome 6:1, 6-7; 20-25 Voici les commandements […] que l’Éternel, votre Dieu, a commandé de vous enseigner, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession […] Et ces commandements, que je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur. 7Tu les inculqueras à tes enfants, et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras [… ] 20Lorsque ton fils te demandera un jour : Que signifient ces préceptes, ces lois et ces ordonnances, que l’Éternel, notre Dieu, vous a prescrits ? 21tu diras à ton fils : Nous étions esclaves de Pharaon en Egypte, 22L'Éternel a opéré, sous nos yeux, des miracles et des prodiges, grands et désastreux, contre l'Egypte, contre Pharaon et contre toute sa maison; 23et il nous a fait sortir de là, pour nous amener dans le pays qu'il avait juré à nos pères de nous donner. 24L'Éternel nous a commandé de mettre en pratique toutes ces lois, et de craindre l'Éternel, notre Dieu, afin que nous fussions toujours heureux, et qu'il nous conservât la vie, comme il le fait aujourd'hui. 25Nous aurons la justice en partage, si nous mettons soigneusement en pratique tous ces commandements devant l'Éternel, notre Dieu, comme il nous l'a ordonné.
**Dieu délivra Israël d’Égypte - de l’esclavage - des coutumes du monde qui les entouraient et Il leur a révélé sa loi. Il ne veut pas que son peuple retourne aux traditions, coutumes desquelles Il les a délivrés. Il en fera donc de même pour toi Israël toi qui est éparpillé au 4 coins de la terre!
Gardons en tête que toutes ces traditions, truffées de symbolisme, philosophies, d’adoration des anciens dieux païens, basées sur des traditions d'hommes, ne consistent pas en l’adoration du vrai Créateur.
Proverbes 22:6 Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre; Et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas.
**Il conviendrait ainsi aux parents d'enseigner aux enfants que Dieu leur a accordé ses lois, règles et commandements et non de les instruire selon les traditions d'hommes et le mensonge perpétuel.
L'arbre et ses fruits
** À deux reprises dans Matthieu 7:16 et 20, Jésus a dit : Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez. Tout ce que les gens font ou disent de bien ou de mauvais produit des fruits. Les fruits de Noël sont ABO-MI-NA-BLES.
Cette célébration est la porte ouverte à toutes formes d'excès et de fantaisies. C'est la période durant laquelle dominent l’adultère, la solitude (suicide), la jalousie, l’ivrognerie, le plaisir de la chair, la gloutonnerie/gourmandise (manger et boire en excès), conduite dangereuse au volant, les controverses familiales (et pire), le surendettement etc... Ce dernier problème est si important que toutes les églises rapportent que leur revenu, ironiquement, chute pendant cette période car, sans surprises, les fidèles « récupèrent » de toutes leurs dépenses.
Sur le plan sanitaire, au sortir de ces fêtes, les maux de toutes sortes augmentent (Gastroentérite et autres)
Aviez-vous déjà fait le lien? Quelles seraient les raisons de tous ces maux?
CONSOMMATION D'ALIMENTS IMPURS EN EXCÈS :
> Viande de porc (cochon), jambons, lardons, saucisses, saucissons, boudin noir (à base de sang de porc), Lévitique 17:4; Deutéronome 12:23 - huîtres, langoustes, escargots, crevettes, ouassous, lambis, foie gras, canard, oursins, coquilles St-Jacques, mousse d'oie etc...
SURCONSOMMATION :
> Surconsommation d'apéritifs, de desserts sucrés, bûches pâtissières ou glacées, glaces, chocolats en tout genre, bonbons et friandises contenant de la gélatine de porc, aspartame, sucre blanc, colorants et additifs néfastes etc...
> Surconsommation d'alcools forts, rhum (destruction du foie), coca-cola et autres sodas...
> Aliments fumés, transformés, repas copieux (Repas lourd à digérer etc...).
> Heures de sommeil réduites (système immunitaire fragilisé)
Surconsommation pour quels résultats? Le résultat direct est la destruction massive de la flore intestinale provoquant ainsi la création d'un nid de bactéries néfastes favorisant l'émergence de maladies en "début d'année". En tête de liste on trouve la gastro-entérite. Ci-après deux passages à méditer.
1 Corinthiens 6:19 Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes? Dieu nous a fait don de ce corps. Ce que nous en faisons est notre don à Dieu.
Corinthiens 10:21 Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons; vous ne pouvez participer à la table du Seigneur, et à la table des démons.
Faites votre choix!
Cette célébration est la porte ouverte à toutes formes d'excès et de fantaisies. C'est la période durant laquelle dominent l’adultère, la solitude (suicide), la jalousie, l’ivrognerie, le plaisir de la chair, la gloutonnerie/gourmandise (manger et boire en excès), conduite dangereuse au volant, les controverses familiales (et pire), le surendettement etc... Ce dernier problème est si important que toutes les églises rapportent que leur revenu, ironiquement, chute pendant cette période car, sans surprises, les fidèles « récupèrent » de toutes leurs dépenses.
Sur le plan sanitaire, au sortir de ces fêtes, les maux de toutes sortes augmentent (Gastroentérite et autres)
Aviez-vous déjà fait le lien? Quelles seraient les raisons de tous ces maux?
CONSOMMATION D'ALIMENTS IMPURS EN EXCÈS :
> Viande de porc (cochon), jambons, lardons, saucisses, saucissons, boudin noir (à base de sang de porc), Lévitique 17:4; Deutéronome 12:23 - huîtres, langoustes, escargots, crevettes, ouassous, lambis, foie gras, canard, oursins, coquilles St-Jacques, mousse d'oie etc...
SURCONSOMMATION :
> Surconsommation d'apéritifs, de desserts sucrés, bûches pâtissières ou glacées, glaces, chocolats en tout genre, bonbons et friandises contenant de la gélatine de porc, aspartame, sucre blanc, colorants et additifs néfastes etc...
> Surconsommation d'alcools forts, rhum (destruction du foie), coca-cola et autres sodas...
> Aliments fumés, transformés, repas copieux (Repas lourd à digérer etc...).
> Heures de sommeil réduites (système immunitaire fragilisé)
Surconsommation pour quels résultats? Le résultat direct est la destruction massive de la flore intestinale provoquant ainsi la création d'un nid de bactéries néfastes favorisant l'émergence de maladies en "début d'année". En tête de liste on trouve la gastro-entérite. Ci-après deux passages à méditer.
1 Corinthiens 6:19 Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes? Dieu nous a fait don de ce corps. Ce que nous en faisons est notre don à Dieu.
Corinthiens 10:21 Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons; vous ne pouvez participer à la table du Seigneur, et à la table des démons.
Faites votre choix!
Le véritable « esprit de Noël »
Ésaïe 58:1 Crie à plein gosier, ne te retiens pas, élève ta voix comme une trompette, et annonce à mon peuple ses iniquités, à la maison de Jacob ses péchés !
**La citation qui suit provient de la brochure intitulée « La simple vérité au sujet de Noël », écrite par M. Herbert W. Armstrong. Ainsi conclurons-nous ce dossier sur "Noël : Coutume païenne non Biblique".
« Noël est devenue une saison commerciale. Cette fête est financée, exploitée, maintenue en vogue par un déploiement inouï de campagnes publicitaires les plus intenses de l’année [...] où vous voyez un Père Noël de mascarade dans plusieurs magasins. Des flots de réclames (publicités) nous tiennent en haleine et nous trompent sur le « merveilleux esprit de Noël ». La presse, qui vend les annonces, imprime des éditoriaux flatteurs, en langage fleuri, exaltant la saison païenne, et son « esprit ». Un public crédule en est tellement inoculé, que beaucoup s’offensent quand on leur dit la vérité ! Ainsi se crée, années après années, « l’esprit de Noël », non point pour honorer le Christ mais pour vendre des marchandises. C’est caractéristique de toutes les mystifications de satan qui se donne les apparences d’un « ange de lumière » et se montre sous un faux aspect de bonté. Chaque année cette débauche commerciale effrénée engloutit des sommes qui se chiffrent par milliards d'euros et pendant ce temps l’œuvre du Christ en souffre. Cela fait partie du système économique de Babylone! »
Apocalypse 18:4 Sortez du milieu d’elle mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point part à ses fléaux.
**La citation qui suit provient de la brochure intitulée « La simple vérité au sujet de Noël », écrite par M. Herbert W. Armstrong. Ainsi conclurons-nous ce dossier sur "Noël : Coutume païenne non Biblique".
« Noël est devenue une saison commerciale. Cette fête est financée, exploitée, maintenue en vogue par un déploiement inouï de campagnes publicitaires les plus intenses de l’année [...] où vous voyez un Père Noël de mascarade dans plusieurs magasins. Des flots de réclames (publicités) nous tiennent en haleine et nous trompent sur le « merveilleux esprit de Noël ». La presse, qui vend les annonces, imprime des éditoriaux flatteurs, en langage fleuri, exaltant la saison païenne, et son « esprit ». Un public crédule en est tellement inoculé, que beaucoup s’offensent quand on leur dit la vérité ! Ainsi se crée, années après années, « l’esprit de Noël », non point pour honorer le Christ mais pour vendre des marchandises. C’est caractéristique de toutes les mystifications de satan qui se donne les apparences d’un « ange de lumière » et se montre sous un faux aspect de bonté. Chaque année cette débauche commerciale effrénée engloutit des sommes qui se chiffrent par milliards d'euros et pendant ce temps l’œuvre du Christ en souffre. Cela fait partie du système économique de Babylone! »
Apocalypse 18:4 Sortez du milieu d’elle mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point part à ses fléaux.
- VOTRE ESPRIT, VOTRE TEMPS, VOTRE TRAVAIL DEVRAIENT ETRE AU SERVICE DU CHRIST 24/24 ET 7/7 -
Quelques Fêtes païennes de Guadeloupe
Païen est un nom formé à partir du terme latin « paganus » lequel signifie « paysan du village ou civil » et qui provient lui-même du mot « pagus» qui signifie « village ».
- Terme ayant à l'origine une connotation péjorative (le « pagus » étant l'antithèse de la cité, symbole de la civilisation), utilisé par les chrétiens et l'église pour décrédibiliser les anciennes croyances.
- Depuis l'empereur Théodose Ier, dont le petit fils Théodose II a officialisé les premières persécutions à l'encontre des non-convertis au christianisme1, le mot Paganisme désigne les religions dites païennes, c'est-à-dire non-monothéistes. Plus souvent dites polythéistes.
- De nos jours, ce terme est encore parfois utilisé par les monothéistes pour qualifier ce qui relève du polythéisme européen, au panthéon polythéiste, et en ce sens est opposé au christianisme, à l'islam ou au judaïsme, religions venues d'Orient. Les laïques lui préfèrent « polythéistes » et/ou « animistes ». https://fr.wikipedia.org
Polythéisme: Le terme, qui vient du grec poly (plusieurs) et thés(dieux), a été inventé par l’auteur juif Philo d'Alexandrie (-12 ~ 54) pour argumenter avec les Grecs. Lors de l’expansion du christianisme autour du bassin méditerranéen et en Europe, les non-chrétiens furent appelés simplement impures (terme utilisé à l'origine par les Juifs pour désigner les non-Juifs) ou païens (gens du pays), ou encore, de façon clairement péjorative, idolâtres (adorateurs de « faux » dieux). https://fr.wikipedia.org
Monothéisme (du grec μονός [monos], « seul, unique » et θεός [theos], « dieu ») est une religion qui affirme l'existence d'un Dieu unique et transcendant. C'est notamment le cas des religions Abrahamiques : judaïsme, christianisme et islam. https://fr.wikipedia.org
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